Michael Jackson aurait eu 60 ans ce 29 août 2018. A cette occasion, France 4 vous propose de découvrir un documentaire sur le destin hors du commun de la famille Jackson et de Michael Jackson en particulier.

« La saga Jackson, Histoire d’une famille extraordinaire » est programmé ce Jeudi 30 août 2018 à 20h55 pour une durée de 90 minutes.

Même si les fans n’apprennent souvent que trop peu de choses dans ce genre de documentaires, il est parfois utile que de suivre les promesses de leur contenu, puisque France 4 y annonce la présence d’archives inédites ainsi que la participation exceptionnelle de Marlon Jackson.

Ce film de Julie Robert et Vincent Attelé a été réalisé par Julie Robert avec la participation de :

  • Amir.
  • David Hallyday.
  • Tal.
  • Stéphane Boudsocq, journaliste et biographe.
  • Olivier Cachin, journaliste et biographe.
  • François Durpaire, historien des Etats-Unis.
  • Azzedine Fall, rédacteur en chef adjoint « Les Inrocks ».
  • Jackie Lombard, productrice des concerts de Michael en France (1992-1997).
  • Philippe Manoeuvre, journaliste et biographe.
  • Emilie Mazoyer, journaliste « Europe 1 ».
  • Cedric Perrier, manager du groupe « The Jacksons ».
  • Catherine Schwaab, rédacteur-en-chef « Paris Match».

France 4 sera partenaire de l’exposition « Michael Jackson : On the wall » qui se tiendra à Paris à partir du 23 novembre au Grand Palais.

Source: France 4

Comme vous le suivez sur nos infos depuis quelques temps, le livre « The Bad Singles Collection » est en vente depuis le 20 août sur chronica.be.

Aujourd’hui, MJFrance vous propose une interview de Gilles Moris, co-auteur de ce livre avec Christophe Charlot, que vous connaissez bien comme étant celui qui oeuvre avec tant de passion derrière le MJBackstage.

Gilles Moris, que l’on connait un peu moins, est présenté comme un fan collectionneur de disques et d’objets rares sur Michael Jackson et sa famille depuis 1987. Il possède une gigantesque collection et est une encyclopédie à lui tout seul.

Apprenons-en un peu plus à son sujet…

Bonjour Gilles et merci de nous accorder cette interview. Pourrais-tu te présenter auprès de nos visiteurs ? Quel âge as-tu, d’où viens-tu, depuis quand et dans quelles circonstances es-tu devenu fan de Michael Jackson ?

Bonjour aux fans du King Of Pop, je me présente : je suis Gilles Moris (43 ans). Grand collectionneur de disques de Michael et de toute la famille Jackson. J’habite dans la province de Luxembourg en Belgique et je suis fan depuis l’époque où j’ai découvert la vidéo Billie Jean lors de sa sortie. Depuis lors je suis passionné par son art mais aussi tous les collectors qui le concernent et que je collectionne.

Comment as-tu vécu ta vie de fan de Michael Jackson, de son vivant et depuis son décès ?

J’ai toujours suivi Michael à travers ses chansons et ses clips. Bien entendu, j’ai été très choqué à l’annonce de sa mort … mais je continue et continuerai à admirer ce chanteur hors du commun qui fait partie intégrante de mon quotidien. Et je continue de collectionner tout ce qui le concerne, comme avant son décès.

Est-ce que tu es devenu collectionneur à force d’acheter tout ce qui est sorti au sujet de Michael ou est-ce que tu as tout de suite voulu tout avoir sur lui ?

A l’époque, je n’avais pas beaucoup de moyens financiers et j’ai donc choisi de me rendre dans les différentes brocantes du coin pour trouver des disques que je n’avais pas. Et puis, au fur et à mesure, ma collection s’est agrandie au gré des achats. Par la suite, pour trouver des disques et pressages que je n’avais pas, j’ai commencé à voyager, dans différentes villes, pour trouver des magasins de vinyles, et dans les foires du disque, parce que cela devenait plus difficile de trouver des collectors que je n’avais pas dans les brocantes.

Ta description sur le livre annonce que tu possèdes une gigantesque collection. Comment as-tu organisé, rangé cette collection ? Combien de place prend-elle ? Est-ce que tu as tout énuméré et sais-tu combien de pièce est-ce que tu possèdes ?

Le classement de ma collection est organisé pour chaque membre de la famille Jackson (car je collectionne l’ensemble de la famille, même si MJ représente l’essentiel de ma collection), ainsi que par le pays d’origine. Je ne dévoilerai par contre pas le nombre de disques, CD et cassettes que je possède : top secret. Par contre, pour vous donner une indication : les 2 pièces que je consacre aux collectors sont bien fournies…

Quelles sont tes plus belles pièces et quelles sont celles qui auraient des anecdotes que tu pourrais nous raconter ?

Ce n’est vraiment pas facile de choisir entre toutes mes pièces. Les premières qui me viennent à l’esprit sont le 45 tours de Someone In The Dark, le Rappin des Jackson 5, le promo 33 tours du Magic Beat … ou encore le maxi de Smile. Et sur ce maxi, j’ai une anecdote qui va faire enrager plein de collectionneurs. En effet, je l’ai trouvé dans un magasin d’occasion plus ou moins au moment de sa sortie. Et je l’ai acheté au prix de 300 FB c’est-à-dire… environs de 7,50 € !!

Comment s’est faite ta rencontre avec Christophe du MJBackstage et quand est née cette idée de livre « The Bad Singles Collection » ?

Ma rencontre avec Christophe remonte à bien longtemps, c’était lors d’une foire du disque à Bruxelles. Vers la fin des années 90 me semble-t-il. Nous avons sympathisé et nous sommes restés constamment en contact au fil des années. Il y a eu aussi plusieurs rencontres lors différents meetings organisés par le MJBackstage. Par la suite, j’ai eu le privilège de participer à différentes initiatives de magazines et livres du MJBackstage, et notamment le Collector Book des sorties 2009-2010 que l’on avait publié en 2011. On était tous très satisfaits de ce collector book et des réactions des fans. Et du coup, on s’est imaginé développer cela pour d’autres périodes, parce que 2009-2010 n’était pas la plus excitante, il faut bien l’avouer.

Mais on avait voulu le faire parce qu’on avait l’impression que les fans ne s’en sortaient pas avec toutes les sorties, les hommages et rééditions à cette période d’après décès. Du coup, quand il a fallu choisir une période pour se lancer on a pris Bad parce qu’il y a aussi énormément de collectors. C’était un an après la sortie du Collector Book 2009-2010, soit en 2012. On était trois mais l’un de nous a dû arrêter ce projet et il a été au point mort. Ce n’est que récemment, quand Christophe a identifié un partenaire imprimeur en ligne, qu’on s’est dit qu’il fallait reprendre ce projet un peu dingue. Surtout qu’environ 60% du livre était prêt et mis en page depuis 2012…

Pourquoi avoir voulu spécifiquement vous attaquer à cette période de BAD ? est-ce pour vous définitivement la mériode période ? Artistiquement parlant ? La plus riche en événements ? En collectors ?

Oui, tout à fait, la question résume bien le tout, Bad est une période très riche sur tous les points de vue, il y a plein de disques partout et Epic, à l’époque, misait énormément sur des éditions spéciales, des collectors, des promos, etc. Il y a fort à faire quand on collectionne la période Bad…

On apprend avec la création de cette maison d’édition 100% Jackson une intention de sortir plusieurs ouvrages. Avez-vous déjà en tête le prochain et s’agira-t-il une fois de plus d’un référencement de collectors ?

C’est exact, plusieurs ouvrages sont prévus. Nous travaillons d’ailleurs sur un autre livre en ce moment, mais je ne vais pas trop en dire. Il faut garder un peu de surprises… 🙂

Que penses-tu de l’évolution du monde de la collection depuis internet et depuis la disparition de Michael ?

Internet a changé la vie des collectionneurs. A l’époque, pour trouver un disque rare, il fallait correspondre par courrier, envoyer des chèques ou des mandats postaux. Ou se rendre dans des foires du disque, des magasins spécialisés ou des brocantes. Aujourd’hui, on achète tout en quelques clics, sur eBay ou des sites spécialisés. Il ne faut même plus sortir de chez soi. A un moment, l’offre était tellement grande sur Internet et la demande des fans moins grande que les prix pouvaient sembler diminuer. Avec le décès de Michael, par contre, on a vu les prix sensiblement grimper, j’ai l’impression. A présent, c’est un entre-deux avec certains vendeurs qui veulent toucher le plus possible, mais qui ne vendent pas forcément leurs pièces quand ils demandent trop. On revient à plus de raison.

Que penses-tu du travail de l’Estate en matière de préservation de l’héritage artistique de Michael ? Les albums posthumes, les rééditions, les scandales etc etc ? Et ces Picture Disc à venir naturellement ?

On ne peut pas dire que tous les choix de l’Estate soient vraiment fabuleux, c’est le moins qu’on puisse dire. Si l’on s’en tient vraiment au niveau des pressages musicaux, et donc pas le merchandising, l’Estate n’a généralement pas gâté les fans en presque 10 ans. On peut souligner les chouettes pressages pour Bad 25 avec le box et la valisette par exemple ou le LP qui brille pour l’album « Scream », même si le contenu laisse à désirer. La réédition des LP en picture disc, c’est sympa pour les fans. Même s’il s’agit vraiment de pressages sans grande valeur : niveau contenu, ce n’est rien de nouveau et ce sera assez répandu, je pense.

En quelques mots, pourquoi les fans doivent acheter ce nouveau livre ? Que va-t-on y trouver d’intéressant ? Quels sont ces petits détails qui vont en faire sa différence ?

Pour ce livre, on s’est inscrit dans la continuité du Collector Book 2009-2010 et qui avait plu aux fans. C’est-à-dire que l’on a voulu détailler les disques par des textes explicatifs, les références, des photos,… le tout avec un peu d’humour. On voulait aussi miser sur une bonne organisation du contenu et le classement des différentes pièces. On a voulu que ce soit un livre référentiel mais aussi qui puisse être lu par les fans, en prenant du plaisir et en découvrant des tas de choses sur les disques. De plus, nous avons choisi de proposer un livre en format A5 et en version rigide, ce qui sera pratique pour le transport. Il vous accompagnera lors de voyages, aux foires du disque, dans les magasins etc…

Merci Gilles pour nous avoir accordé cette interview. Aurais-tu un petit mot pour nos visiteurs ?

Que la magie continue de faire rêver tous les fans de Michael !

Konbini, le média de nouvelle génération qui touche près de 60 millions de visiteurs par an dans plus de 30 pays, a publié sur sa page Facebook une interview de Nile Rodgers, le célèbre guitariste du groupe Chic qui apporta sa contribution au titre « Money » de Michael Jackson pour l’album HIStory.

S’il avait déjà raconté dans quelles circonstances avaient eu lieu cette participation dans son autobiographie « C’est Chic » sortie en 2011 aux éditions rue fromentin, Nile Rodgers racontent d’autres anecdotes touchantes que vous pouvez visionner ici ou en retranscription ci-après.

Nile Rodgers: On était de très bon amis. Lorsque j’ai fait cette chanson pour « HIStory », je ne voulais pas la faire, car j’étais à l’époque en cure de désintoxication. Je me faisais soigner pour toxicomanie, et cela a duré huit mois.

Je ne voulais plus être dans un studio d’enregistrement. Je pensais que ma carrière musicale était terminée. Michael m’a contacté pour me dire: « Nile, je voudrais que tu fasses une chanson ». Je lui ai dit: « Je suis désolé Michael, j’ai arrêté. »

« Pourquoi tu as arrêté ? » Alors je lui ai expliqué que je me faisais soigner pour toxicomanie et que je faisais partie d’un programme. Non seulement tu ne peux pas dire non à Michael Jackson, mais en plus il avait fait quelque chose de magnifique pour moi.

Il y avait cette petite fille qui était en train de mourir d’un cancer au cerveau et elle m’a contacté pour me dire que son dernier souhait était de rencontrer Michael Jackson. Je ne savais pas comment il réagirait, mais je l’ai quand même appelé pour lui dire: « Michael, il y a cette petite fille, elle a une tumeur au cerveau, et est-ce qu’elle peut te rencontrer ? »

Il m’a dit: « Bien sûr qu’elle peut me rencontrer. » C’était avant que je fasse le disque. C’était, tu sais, c’était les débuts de la carrière solo de Michael Jackson. Je crois que c’était son premier concert solo. Je l’ai emmenée au concert. Michael Jackson est descendu dans le public, nous a pris par la main et il nous a ramenés dans les coulisses.

Lorsqu’on est revenus à nos places, toutes les célébrités présentes sur place sont venues à elle. Tout le monde, Mike Tyson lui a filé sa montre. Il disait: « Mais qui est cette fille ? » Et moi je lui expliquais, tu sais… En Amérique, on a une association qui s’appelle la Fondation Make-A-Wish. Je lui ai dit que Make-A-Wish m’avait appelé et que c’était son souhait.

Je ne voulais pas dire qu’elle était en train de mourir, vous savez… Bref, deux ou trois jours plus tard, elle m’a écrit une lettre. Et j’ai toujours la lettre, c’est l’une des lettres les plus importantes dans mes archives.

Elle me dit: « Cher Mr Rodgers, je voudrais vous remercier et Mr Jackson aussi. Et je voudrais surtout remercier Dieu de m’avoir donné un cancer au cerveau. Parce que si je n’avais pas eu ce cancer, je n’aurais jamais assisté à ce concert, cette nuit-là. » Elle est morte, je crois, deux jours plus tard.

Après ça, mon amour pour Michael est devenu fou. Souvenez-vous, on s’est connus lorsqu’on était ados, on était déjà amis. Mais après qu’il a fait ça, je l’aimais et je ne pouvais rien lui refuser. Mais si je continuais à lui dire non, il continuait à me rappeler. Je lui disais non, il continuait à me rappeler. Finalement, je lui ai dit: « D’accord ! »

Je lui ai dit: « Je participe à un programme pour les toxicomanes et j’ai peur de retourner dans un studio d’enregistrement. Car si j’y retourne, ils vont croire que je veux ce que j’obtiens normalement. » ce qui veut dire: « Apportez le champagne, la cocaïne, appelez le filles… » Non, ce n’est pas ce que je veux, je veux juste jouer une chanson.

Je lui ai dit: « Je vais attendre en bas puis monter à l’étage pour la jouer et quand c’est bon, tu me le dis, et je retourne chez moi. » Lorsque je l’ai jouée, j’ai réalisé que je lui manquais. Il voulait discuter avec un vieil ami. Lorsque j’ai fini de la jouer, ça m’a pris dix minutes pour faire ma partie car il savait exactement ce qu’il voulait, je l’ai jouée et c’était terminé.

Il m’a dit: « On peut parler ? » Et nous avons parlé pendant presque trois heures, et c’est la dernière fois que je l’ai vu.

Source: Konbini
Merci à Mikeneufdeux Leneuf

 

Même si la presse ne fait pas écho et encore moins les gros titres de leurs journaux concernant l’audience du 21 août dernier qui eu lieu à Los Angeles (voir notre info du 22 août), quelques sites internet commencent à en parler comme le site du célèbre magazine Vibe par exemple.

Si Sony n’a pas véritablement fait l’aveu officiel qu’il ne s’agit pas de Michael Jackson qui chante sur les titres Cascio, mais a plutôt avancé une condition hypothétique pouvant persuader le tribunal qu’ils étaient innocents lors de la production de l’album « Michael », les fans du Roi de la Pop et la plaignante, Vera Serova en particulier, peuvent être fiers de cette nouvelle étape dans le rétablissement du respect de l’héritage artistique de Michael Jackson.

Les fans de longue date et ceux qui ont vécu le sacrilège de 2010 avec la première mise en ligne officielle du titre Breaking News sur internet, se souviennent parfaitement d’avoir tout de suite entendu avec leurs oreilles (qui avaient écouté du Michael Jackson à longueur de journée depuis des lustres), que ce n’était pas lui qui chantait sur ce titre.

Que ce soit sur les forums de discussion ou ailleurs, ils exposaient alors leurs avis mais aussi leur colère et leur indignation face à ce que l’on peut qualifier facilement de trahison.

Avant que l’album ne sorte, des membres de la famille Jackson affirmaient ne pas reconnaître la voix du Roi de la Pop sur ces titres Cascio: Jackie, Jermaine, Randy, les 3T mais aussi les enfants de Michael, Prince et Paris ainsi que Katherine, sa mère.

De notre coté, chez MJFrance, au vu du sacrilège et de la colère des fans, nous trouvions alors légitime de devoir agir. Le 12 novembre 2010, soit plus d’un mois avant la sortie de l’album, nous lancions un appel à tous les fans, les sites de fans et les fan-clubs du monde entier, afin de s’unir et demander à l’Estate de Michael Jackson et à Sony Music de retirer du futur album « Michael », les chansons produites avec ou par les frères Cascio.

Conjointement à cet appel, nous réalisions alors une pétition sur internet avec le nom de The United Michael Jackson Fan-Clubs Of The World afin d’exprimer l’unanimité des personnes qui nous avaient alors rejoint. Le contenu de cette pétition et sa raison d’être étaient alors également expliqués par courrier et envoyé à l’Estate de Michael Jackson.

Pour ceux qui ne le sauraient pas, cette pétition ne fut pas vaine. Loin de là, puisqu’elle fut utilisée dans l’argumentaire présenté par les avocats de Vera Serova et ce dans le résumé de l’historique de la controverse concernant les titres Cascio. On peut y lire ainsi: Des milliers de fans de Michael Jackson à travers le monde insistèrent également sur le fait que Jackson n’était pas le chanteur sur les titres Cascio et firent une pétition demandant de ne pas inclure ces titres sur « Michael ». A ce texte est alors joint un renvoi vers l’adresse de la pétition que vous pouvez retrouver sur notre info du 12 novembre 2010.

Aujourd’hui et plus que jamais, MJFrance tient une fois de plus à remercier les fans du monde entier et les sites de fans qui s’unirent à nous afin de réaliser cette union et cette pétition. Vous pouvez être fiers de votre acte qui certes est un grain de sable au regard du combat héroïque dans lequel s’est lancée Vera Serova, mais qui ne fut pas sans effet, vous en êtes les témoins aujourd’hui.

Nous ne pouvons citer personne en particulier car vous êtes bien trop nombreux, mais nous savons que vous vous reconnaîtrez et la liste des sites internet est encore présente dans notre info du 12 novembre 2010.

Michael Jackson, de son vivant, a toujours eu une relation bien particulière avec ses fans. Une relation unique qu’aucun autre artiste n’a jamais partagé car il était et restera à jamais un être incomparable. De leur côté, ses fans ont aussi cette particularité, pour ne l’avoir jamais abandonné et l’avoir soutenu, coûte que coûte, contre les tempêtes médiatiques et judiciaires dont il est sorti vainqueur.

Dommage que l’Estate et Sony aient été si loin de comprendre et d’admettre la force de cette relation. Peut-être sont-ils encore trop loin de la juste appréciation de leur artiste, qu’ils ne connaissent finalement que trop peu.

Vous les fans, savez à quel point ils se sont trompés et se trompent encore. Et vous pouvez être fiers de vous !

Après un nouveau décompte des ventes d’albums et de singles de Michael Jackson aux USA, la RIAA (Recording Industry Association of America) vient de dévoiler de nouveaux chiffres concernant les ventes de Michael Jackson aux USA qui obtient ainsi de nouvelles certifications disque d’or et disque de platine.

Concernant les albums, pour rappel des calculs: Chaque album physique ou digital est compté comme une vente. 10 chansons téléchargées correspondent à une unité de vente. Le total de 1500 chansons ou vidéos en streaming est considérée comme une unité de vente:

  • Dangerous est maintenant certifié 8 fois disque multi-platine ce qui correspond à 8 fois 1 000 000 unités soit 8 millions d’albums vendus. Le dernier décompte du 30 mai 2000 l’avait certifié 7 fois disque multi-platine.
  • HIStory est maintenant certifié 8 fois disque multi-platine ce qui correspond à 8 fois 1 000 000 unités soit 8 millions d’albums vendus. Le dernier décompte du 12 octobre 1999 l’avait certifié 7 fois disque multi-platine.
  • The Essential Michael Jackson est maintenant certifié 4 fois disque multi-platine ce qui correspond à 4 fois 1 000 000 unités soit 4 millions d’albums vendus. Le dernier décompte du 16 mai 2013 l’avait certifié 3 fois disque multi-platine.

Concernant les singles, pour rappel des calculs: Chaque vente digitale correspond à une unité de vente. Le total de 150 demandes de streaming est concidéré comme une unité de vente.

  • Thriller est maintenant certifié 6 fois disque multi-platine ce qui correspond à 6 fois 1 000 000 unités soit 6 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 8 novembre 2005 ne l’avait certifié que disque d’or, soit 500 000 unités.
  • Billie Jean est maintenant certifié 5 fois disque multi-platine ce qui correspond à 5 fois 1 000 000 unités soit 5 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 9 mai 2013 ne l’avait certifié que disque de platine, soit 1 000 000 unités.
  • Beat It est maintenant certifié 4 fois disque multi-platine ce qui correspond à 4 fois 1 000 000 unités soit 4 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 14 février 1989 ne l’avait certifié que disque de platine, soit 1 000 000 unités.
  • Man In The Mirror est maintenant certifié 3 fois disque multi-platine ce qui correspond à 3 fois 1 000 000 unités soit 3 millions de singles vendus.
  • Smooth Criminal est maintenant certifié 2 fois disque multi-platine ce qui correspond à 2 fois 1 000 000 unités soit 2 millions de singles vendus.
  • Don’t Stop ’til You Get Enough est maintenant certifié 3 fois disque multi-platine ce qui correspond à 3 fois 1 000 000 unités soit 3 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 8 novembre 2005 ne l’avait certifié que disque d’or, soit 500 000 unités.
  • The Way You Make Me Feel est maintenant certifié 2 fois disque multi-platine ce qui correspond à 2 fois 1 000 000 unités soit 2 millions de singles vendus.
  • P.Y.T. (Pretty Young Thing) est maintenant certifié 2 fois disque multi-platine ce qui correspond à 2 fois 1 000 000 unités soit 2 millions de singles vendus.
  • Black Or White est maintenant certifié 2 fois disque multi-platine ce qui correspond à 2 fois 1 000 000 unités soit 2 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 6 janvier 1992 ne l’avait certifié que disque de platine, soit 1 000 000 unités.
  • Rock With You est maintenant certifié 2 fois disque multi-platine ce qui correspond à 2 fois 1 000 000 unités soit 2 millions de singles vendus. Le dernier décompte du 14 février 1989 ne l’avait certifié que disque de platine, soit 1 000 000 unités.
  • Bad est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus.
  • Wanna Be Startin’ Somethin’ est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus.
  • Dirty Diana est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus.
  • Human Nature est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus.
  • Remember The Time est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus. Le dernier décompte du 16 mars 1992 ne l’avait certifié que disque d’or, soit 500 000 unités.
  • They Don’t Care About Us est maintenant certifié disque d’or ce qui correspond à 500 000 unités de singles vendus.
  • You Rock My World est maintenant certifié disque d’or ce qui correspond à 500 000 unités de singles vendus.
  • Will You Be There est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus. Le dernier décompte du 3 décembre 1993 ne l’avait certifié que disque d’or, soit 500 000 unités.
  • Hold My Hand est maintenant certifié disque d’or ce qui correspond à 500 000 unités de singles vendus.
  • Earth Song est maintenant certifié disque d’or ce qui correspond à 500 000 unités de singles vendus.
  • Off The Wall est maintenant certifié disque de platine ce qui correspond à 1 000 000 unités de singles vendus.

Info mise à jour le 24/08 suite à un mauvais calcul des unités pour certaines ventes.

Source: RIAA / MJFrance

Une drôle de polémique sévit depuis quelques jours sur le net et plus particulièrement sur les réseaux sociaux concernant les gros titres de certains journaux affirmant que pour l’album le plus vendu de tous les temps, Michael Jackson serait détrôné par les Eagles.

Si depuis toujours, un Best-Of de l’excellent groupe Eagles est au coude à coude avec l’album Thriller dans les meilleures ventes aux USA, oui vous avez bien lu aux USA, cela fait des lustres qu’il passe devant Thriller en chiffre de vente et vice et versa, Thriller repassant régulièrement devant le Best-Of des Eagles au grès du temps et surtout des mises à jour du calcul des ventes dans ce pays par la célèbre RIAA (Recording Industry Association of America).

Le problème n’est donc pas dans le fait que le Best-Of des Eagles ait une fois de plus dépassé Thriller en chiffre de vente aux USA, mais des gros titres de la presse et de certains sites de journaux qui ont annoncé dans leur titre que cela concernait le monde entier.

Même si certains d’entre eux détaillaient ensuite dans leur article qu’il s’agissait des chiffres de ventes aux USA, les gros titres ne le précisaient pas. Quelle en est la raison ? Attrait du lecteur ou énième absence d’investigation de la part des journalistes concernant toute information concernant Michael Jackson ? Chacun se fera sa propre opinion. Acte volontaire ? Nous vous laissons seuls juges même si nous avons notre propre opinion à ce sujet.

Quoiqu’il en soit, Salut les Fans, le rendez-vous YouTube des fans de Michael Jackson basé sur l’humour, l’autodérision et beaucoup de passion, vous propose une toute nouvelle vidéo afin de vous expliquer cela et d’essayer de calmer cette petite tempête dans un verre d’eau.

A visionner sur You Tube ou ci-après.

Comme nous vous l’annoncions dans notre info du 28 juin dernier, le nouveau volume de la série de livres The Ultimate Collection Book est consacré cette fois-ci à la période BAD allant de 1987 à 1990.

Sixteen 11 Media Group propose dorénavant la possibilité de pré-commander cet ouvrage dès maintenant sachant que les envois auront lieu à partir du 3 octobre prochain.

Contenant 650 pages pour un poid supérieur à 3 kilos, nul doute que ce livre donnera autant satisfaction que les précédents ouvrages consacrés aux périodes Dangerous, HIStory et Invincible.

Pour pré-commander ce nouveau volume consacré à tous les collectors de la période BAD, il vous faut aller sur la page créée à cet effet sur le site de sixteen11.com.

Suite à la plainte de Vera Serova, le 12 Juin 2014 contre Sony Music Entertainment, John Branca, Edward Joseph Cascio, James Victor Porte, MJJ Productions, Inc. et Angelikson Productions LLC pour violation des consommateurs, violation de la loi sur la concurrence déloyale et fraude au sujet des titres Cascio présents sur « l’album » MICHAEL, une nouvelle audience a eu lieu hier à Los Angeles.

Les avocats de Vera Serova et de Sony Music ont chacun à leur tour argumenté sur le fait de savoir si la formulation présente sur la couverture de l’album et des publicités télévisées devrait ou ne devrait pas être considéré comme un discours «commercial».

Aux fins de l’argumentation, Sony a de nouveau concédé que les chansons étaient des contrefaçons, chantées non pas par Michael Jackson, mais par un imitateur, mais qu’ils ne le savaient pas à la sortie de l’album. Sony a également concédé que la vente des chansons avait en effet porté préjudice aux consommateurs.

Il appartient maintenant aux trois juges présents à l’audience de prendre collectivement une décision quant à savoir si Sony s’est engagé dans un discours commercial ou non commercial en déclarant que Michael Jackson était le chanteur de ces chansons.

Dans le cas peu probable où le tribunal statuerait qu’il s’agissait d’un discours non commercial, Sony et l’ Estate ne seraient pas tenus pour responsables. La partie frauduleuse de l’affaire contre Cascio, Porte et Angelikson continuerait malgré tout.

Le tribunal a 90 jours pour rendre sa décision. Généralement, ces décisions sont prises en une ou deux semaines.

Les avocats de Sony ont également déclaré que, indépendamment du résultat de la décision concernant le discours de Sony, le cas de fraude de Vera Serova contre Cascio & Porte sera toujours valable car ce sont eux qui ont créé les fausses chansons et menti à Sony en les fournissant.

Une audience a été faite pour savoir si Sony devait ou non rester partie au procès. Ils ont fait valoir que, par la loi, ils n’ont rien fait de mal. La dernière fois qu’ils avaient présenté cet argument, le juge ne l’avait pas apprécié mais ils ont légalement le droit de le faire.

Le tribunal décidera si la couverture de l’album et les publicités télévisées sont des discours commerciaux ou non commerciaux. S’ils sont jugés comme commerciaux, Sony et l’ Estate resteraient accusés. Sinon, ils seraient écartés du procés. Ce serait un choc majeur si la couverture de l’album et la publicité télévisée étaient considérées comme des discours non commerciaux.

A suivre…

Source: A Truth Untold