Wade Robson avait besoin d’argent…

Dans le générique final du documentaire Leaving Neverland, on peut voir Wade Robson brûler un gant à paillettes et une veste « Thriller ».

Dan Reed, le réalisateur du film a accordé une interview au site Vice.com qui lui a posé une question à ce sujet: « S’agissait-il du vrai gant à paillettes et de la veste « Thriller » que Robson était en train de brûler dans le générique final du film ? »

A laquelle il a répondu: «  Je n’étais pas là quand Wade a brûlé ces objets, mais les preuves photographiques suggèrent que c’était les vraies affaires, oui. »

Quand on sait que Wade Robson a vendu des affaires que Michael Jackson lui avait offert et ce en 2011 via l’intermédiaire de la célèbre maison de ventes aux enchères Julien’s Auctions, on est en droit de se poser des questions sur le fait qu’il ait pu garder un gant à paillette et une veste de Thriller !

Pour rappel, en 2011 Wade Robson n’avait pas encore accusé Michael Jackson et d’après ses dires il ne s’était donc pas rendu compte du mal qui lui avait été fait. Donc en 2011, Wade Robson, en recherche d’argent, vend des affaires de Michael Jackson. Et donc quelques années après, et après l’avoir accusé, il aurait gardé les affaires de quelqu’un qui aurait commis le crime le plus abject qui soit, et n’aurait plus du tout besoin d’argent au point de brûler ces affaires tout en filmant cet acte ?

De plus, Julien’s Auctions, la célèbre maison de vente aux enchères, a dialogué sur les réseaux sociaux par rapport à cette ancienne vente aux enchères de Wade Robson dans laquelle figuraient un chapeau du clip Smooth Criminal vendu 49 920$, des gants pour avant bras tirés du clip Bad vendus 31250$ et des gants pour avant bras portés par Michael Jackson pendant le Bad Tour vendus 41600$.

Julien’s Auctions a dit ceci: « Wade nous a directement envoyé sa collection. Il était la personne que nous avons payée lorsque nous avons vendu sa collection. Il avait besoin d’argent… Wade a demandé à rester anonyme et a déclaré qu’il ne souhaitait pas que quiconque sache que c’était lui qui vendait en 2011. Mais nous n’étions pas d’accord avec cela et l’avons répertorié comme étant la collection Wade Robson. Il a consigné plusieurs articles et voulait que nous vendions tous ses articles qui avaient de la valeur.« 

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