Le 9 mai dernier, nous vous annoncions la sortie d’un album de remixs intitulé « Motown Remixed » qui comporte un remix du titre « I Want You Back » et un remix du titre « ABC » des Jackson 5. Sachez qu’un second album, intitulé cette fois-ci « Motown Unmixed » sort également mais avec les versions originales.

1. I Want You Back – Jackson 5
2. I Heard It Through the Grapevine – Gladys Knight & the Pips
3. Let’s Get It On – Marvin Gaye
4. ABC – Jackson 5
5. I Just Want to Celebrate – Rare Earth
6. Papa Was a Rollin’ Stone – The Temptations
7. Quiet Storm – Smokey Robinson
8. My World Is Empty Without You – Diana Ross & the Supremes
9. Just My Imagination (Running Away With Me) – The Temptations
10. Smiling Faces Sometimes – The Undisputed Truth
11. Tears of a Clown – Smokey Robinson & the Miracles
12. Keep on Truckin’ – Eddie Kendricks
13. War – Edwin Starr
14. Mary Jane – Rick James

Chris Tucker a été appelé à la barre du tribunal de Santa Maria mardi 24 mai 2005 ou il a expliqué qu’il avait rencontré l’adolescent accusant Michael Jackson d’abus sexuels après que le père de celui-ci lui eut demandé de participer à une œuvre de charité.

Selon Chris Tucker, quelques jours après l’organisation de cette manifestation, le garçon lui a dit qu’il n’avait pas récolté d’argent, et Chris Tucker a alors fait don de « probablement 1.500 dollars ou plus » à une fondation, pour la famille de l’accusateur, atteint d’un cancer. L’acteur a également affirmé avoir accompagné la famille de l’adolescent dans un parc d’attraction et dans un centre commercial.

Le témoignage de Chris Tucker se poursuivra aujourd’hui. La défense a fait savoir à la cour qu’il s’agissait de son dernier témoin, indiquant par là même que Michael Jackson lui-même ne s’exprimerait pas.

Auparavant, c’est Jay Leno qui a témoigné à la demande de la défense. Celui-ci a raconté au jury qu’il a déjà reçu un appel de la présumée victime qui accuse Michael Jackson d’abus sexuels. L’adolescent aurait été très chaleureux, ce qui lui a semblé suspect. Leno dit avoir conversé au téléphone avec l’enfant qui lui a « semblé expansif » .

L’animateur vedette a précisé qu’il donnait de 15 à 20 coups de fil à des enfants malades chaque semaine et qu’il avait commencé à recevoir des messages du jeune garçon, atteint d’un cancer, à partir de l’an 2000. M. Leno dit avoir trouvé curieux que l’enfant le qualifie de « son héros » alors qu’il est un humoriste dans la cinquantaine. Sur le comportement du jeune accusateur Jay Leno a déclaré : « J’ai trouvé cela bizarre » , en soulignant que les appels du jeune, alors âgé d’une dizaine d’années et soigné pour un cancer, lui semblaient « écrits à l’avance » . Sa mère semblait être à ses côtés lors des appels. Mais, a affirmé Jay Leno, « jamais on ne m’a demandé d’argent » . « D’ailleurs, je n’en ai jamais envoyé » . M. Leno a signalé l’incident à la police.

Plusieurs autres témoins ont continué mardi de décrire la victime présumée et son jeune frère comme des enfants particulièrement insupportables lors de leurs séjours à Neverland.

« Ils conduisaient les voitures de golf comme des fous et les renversaient » , a dit Prudence Brando, 9 ans, petite-fille de Marlon Brando dont la famille s’était liée d’amitié avec Jackson. La mère de la fillette, Karen Brando, femme d’un des fils de l’acteur, y a croisé la mère da la victime présumée. Elle a indiqué à la barre se souvenir d’une femme agitée, « qui avait l’air de quelqu’un à qui on ne peut pas faire confiance » .

Un vigile de Neverland, Julio Avila, a expliqué comment les deux fils de cette dernière prenaient visiblement plaisir à défier l’autorité des adultes. Depuis les manèges du parc, ils lançaient leurs chaussures et crachaient sur le personnel, a-t-il affirmé. Le jeune frère de la victime présumée lisait une magazine porno « qu’il disait avoir ramené de chez lui » , a ajouté M. Avila.

Mary Holzer, une experte médicale travaillant pour le cabinet d’avocats chargés du dossier JC Penney a déclaré que la mère accusatrice lui avait dit que les coups qu’elle avait déclaré avoir reçu des agents de sécurité lui avaient en fait été portés par son mari. Holzer lui demanda alors de ne pas mentir et la mère accusatrice l’aurait alors insulté. Celle-ci lui avait alors dit que son frère était dans la mafia mexicaine et qu’elle savait ou elle habitait et qu’ils pourraient venir la tuer ainsi que sa fille âgée de 9 ans.

La défense de Michael Jackson a appelé lundi 23 mai 2005 à la barre du tribunal de Santa Maria Mike Radakovich, un expert-comptable, afin de démontrer que la mère de la victime présumée avait touché indûment des prestations sociales. Celui-ci a confirmé des chiffres déjà évoqués au tribunal: au moment où elle recevait des milliers de dollars de Michael Jackson et de ses associés et avait encaissé 32.000 dollars à la suite d’un accord judiciaire amiable dans une autre affaire, la mère touchait une aide sociale gouvernementale de 769 dollars par mois.

Le fait que la mère n’ait pas fait part de ces revenus aux services sociaux équivaut à une escroquerie, a indiqué à l’audience une employée de ces services, Mercy Mannriquez, interrogée près de trois heures dans la foulée du comptable. M. Radakovich avait auparavant affirmé que la mère du jeune accusateur menait grand train à l’époque où elle affirme avoir été séquestrée à Neverland, la propriété du chanteur à 50 km de Santa Maria: en trois semaines, elle a ainsi dépensé quelque 7.000 dollars en restaurants, en vêtements et en coiffeur.

L’ancienne belle-sœur de la mère l’a ensuite décrite comme cupide et sans cœur. Alors qu’elle avait collecté du sang pour la victime présumée, souffrant d’un cancer, elle s’était vu répondre: « Je ne veux pas de ton p… de sang, je veux de l’argent! » , a-t-elle raconté, en essuyant des larmes. « Je crois que je lui ai raccroché au nez » .

En fin d’audience, la défense a appelé la responsable d’un journal local (The Mid Valley News), qui a affirmé que la mère de l’accusateur avait fait pression en 2000 pour que cette publication incite ses lecteurs à verser de l’argent pour son fils malade. « Elle voulait une deuxième article parce que le premier ne lui avait pas permis d’obtenir suffisamment d’argent » , a indiqué cette journaliste, Connie Keenan, disant même avoir été « trompée » par la première demande d’aide.

Ce témoignage a donné lieu à un contre-interrogatoire musclé de Tom Sneddon, osant affirmer qu’à l’époque la famille de la victime présumée avait vraiment besoin d’argent, pas seulement pour les soins médicaux mais pour compenser un sois disant dénuement plus global.

Le Hit-Parade MJF et son nouveau classement est en ligne. Vous avez été nombreux à voter cette semaine et la principale progression est à mettre sur le compte de « Fall Again » qui gagne 9 places et se retrouve dorénavant classé 103ème. A noter d’autres progressions dans ce hit comme « We’ve Had Enough » 64ème (+ 7), « Carousel » 107ème (+ 6), « Cheater » 109ème (+ 2) et « Scared Of The Moon » 117ème (+ 3).

MJF vous souhaite une agréable semaine à tous.

Mark Geragos a poursuivi son témoignage Vendredi 20 mai 2005 au tribunal de Santa Maria. L’ancien avocat de Michael Jackson a confirmé en tous points son précédent témoignage, dans lequel il expliquait s’être méfié de la famille de la victime présumée. Il a encore dit craindre qu’ « ils aillent voir un avocat pour accuser Michael Jackson, ou aller voir les journaux à scandale » .

Le procureur Ron Zonen lui a demandé s’il était aussi inquiet de voir le garçon retourner dans le lit de Michael Jackson, mais Geragos lui a répondu: « J‘étais inquiet de voir lancer des accusations, des histoires montées de toutes pièces » .

Lors de sa première audition, vendredi dernier, M. Geragos, avocat de Michael de février 2003 à avril 2004, avait affirmé avoir fait enquêter en 2003 sur la famille du jeune accusateur, car il la soupçonnait de vouloir extorquer de l’argent à la vedette.

La défense a indiqué qu’elle pourrait mettre fin à ses témoignages mardi, a précisé le procureur Ron Zonen lors de l’audience. Jay Leno et Chris Tucker devraient donc venir témoigner dans les prochains jours.

Jeudi 19 Mai 2005, alors que le jury n’était pas présent, Larry King a rapporté que l’avocat Larry Feldman lui avait dit que la mère de l’adolescent accusateur n’en voulait dans cette affaire qu’à l’argent, qualifiant cette femme de « givrée » .

Larry King a expliqué qu’il s’était entretenu avec l’avocat dans un restaurant de Beverly Hills peu avant l’ouverture du procès, celui que l’on surnomme le roi de l’interview « coup de poing » et un producteur de CNN souhaitant la présence de Feldman dans l’émission « Larry King Live » .

« Il a dit ‘givrée’ à deux reprises » , a déclaré King, ajoutant en réponse à une question de Thomas Mesereau, qu’il n’avait pas cherché à savoir ce que Feldman entendait par là. Celui-ci avait un peu plus tôt témoigné pour l’accusation et démenti avoir tenu de tels propos sur ses clients.

Le juge Melville s’est également opposé au témoignage de l’éditeur Michael Viner, présent lors de la rencontre entre Larry King et Larry Feldman. Il a statué que les dires n’étaient pas suffisants pour mettre en doute le témoignage de l’avocat, qui avait démenti avoir tenu de tels propos.

Un témoin cité par la défense jeudi, Azja Pryor, ex-fiancée de Chris Tucker, a affirmé que la mère de la victime présumée de Michael Jackson était « furieuse » contre le documentaire de Bashir car ses enfants y apparaissaient sans son autorisation. Selon Melle Pryor, proche alors de cette famille, la mère lui aurait dit qu’elle était « très heureuse » de participer à une vidéo pour disculper Michael Jackson qu’elle qualifiait d’ « ange » . Pryor a déclaré avoir donné de l’argent à la famille et que la mère de l’accusateur et sa sœur avaient essayé de faire pression sur elle afin qu’elle leur donne une voiture.

Au grand désarroi de l’accusation, une vidéo du ranch de Neverland a été diffusée afin de montrer au jury qu’à de multiples endroits et en contradiction totale avec les déclarations de l’accusation, des montres pouvaient indiquer l’heure. Le juge Melville a autorisé la diffusion de cette vidéo malgré l’opposition de Tom Sneddon qui affirme que le ranch est différent de ce qu’il était en Février / Mars 2003.

Rijo Jackson, un jeune cousin de Michael Jackson âgé de 12 ans, a affirmé mercredi 18 mai 2005 lors de son témoignage au tribunal de Santa Maria avoir vu l’accusateur de ce dernier voler du vin, de l’argent à plusieurs employés, et se masturber en regardant des films pornographiques à la télévision, à l’insu du Roi de la Pop.

Rijo Jackson a ajouté que le frère de l’accusateur s’était également comporté de la sorte lors de visites à Neverland. Il a indiqué qu’en 2003, il se trouvait avec les deux garçons dans une pièce du ranch de Michael Jackson lorsque les frères ont allumé la télévision sur une chaîne montrant des femmes nues, ont commencé à se masturber et lui ont suggéré de faire de même. Il a précisé avoir refusé et s’être plutôt rendu jusqu’à la chambre de Michael Jackson afin de lui faire part de ce qui se passait mais « Il ne l’a pas cru » , a-t-il précisé.

Une actrice, Vernée Johnson qui joue dans le Prince de Bel Air, a témoigné que la mère du jeune garçon l’avait sollicitée en 2002 pour récolter de l’argent afin de le soigner de son cancer, mais qu’elle avait rapidement cessé ses versements, la soupçonnant de détourner les sommes à son propre profit « Parce que je n’avais pas confiance en elle » , a-t-elle précisé. Johnson a indiqué elle avait proposé d’ouvrir un compte spécial pour les donations et ce pour le jeune garçon mais que la mère voulait qu’elle dépose l’argent plutôt sur son propre compte.

De son coté, la grand-mère de Simone et de Rijo, a témoigné que l’accusateur lui avait dit : « Nous ne voulons pas aller au Brésil. Ma mère veut y aller mais nous, nous voulons rester ici » .

Mardi 17 mai 2005, une cousine du Roi de la Pop âgée de 16 ans, Simone Jackson, a témoigné devant le tribunal de Santa Maria. Celle-ci a déclaré avoir vu le jeune accusateur et son frère dérober du vin dans la cuisine de Michael Jackson tard dans la nuit. Simone Jackson est le premier témoin ayant un lien de parenté avec Michael à témoigner pour sa défense et la dernière à décrire les deux jeunes garçons en train de boire de l’alcool en cachette.

Elle a déclaré que le 3 Mars 2003 vers 01 heure du matin, alors qu’elle était assise dans un coin de la cuisine à Neverland, en train de jouer à un jeu vidéo, elle a surpris les deux jeunes garçons prendre une bouteille de vin chacun. « Ils ne m’avaient pas vu, j’étais assise en retrait, le frère de l’accusé a pris un verre de vin et l’accusé la bouteille » .

Les garçons se sont alors aperçu de sa présence, elle a alors déclaré : « Je leur ai dit qu’ils n’étaient pas supposé faire ce genre de chose, et ils m’ont dit de ne rien dire » .

Simone Jackson a également déclaré que pendant trois jours qu’elle séjourna à Neverland au mois de Mars, elle discuta avec la sœur de l’accusateur qui lui confia que la famille devait partir au Brésil bientôt et que sa mère était impatiente à l’idée de s’y rendre.

Mardi 17 Mai 2005, Irene Lavern Peters qui travaille pour les services du département de l’enfance et de la famille de Los Angeles a été entendue à la barre du tribunal de Santa Maria. Celle-ci a déclaré qu’elle et d’autres représentants de ce département ont entendu la famille accusatrice le 20 février 2003 à l’appartement de l’ami de la mère du jeune accusateur.

Cette audition eu lieu après que ces services eurent reçu de nombreuses plaintes après la diffusion du documentaire « Living with Michael Jackson » .
Irene Lavern Peters a affirmé que durant cette audition, la famille fut questionnée afin de connaître leur relation avec Michael Jackson et savoir s’ils avaient été maltraités par lui. Chaque membre de la famille a affirmé n’avoir jamais été maltraité, a déclaré Peters, et la mère de l’accusateur à dit que Michael Jackson était comme un père.

Questionné pour savoir si ses enfants avaient passé du temps dans la chambre de Michael Jackson, la mère accusatrice avait alors déclaré que ce fut le cas mais qu’ils ne dormaient pas dans le lit. Elle déclara « Non, ça n’est jamais arrivé » . L’accusateur a également nié toute mauvaise conduite. « Tous le monde crois que Michael Jackson m’a abusé sexuellement; il ne m’a jamais touché » c’est ce qu’a précisé Peters à propos des déclarations du garçon.

Peters a précisé dans son témoignage que la famille accusatrice a répondu spontanément aux questions qui lui étaient posées. Un membre de la sécurité de Michael Jackson et un ami de la mère accusatrice étaient présent lorsque Peters et deux autres agents sociaux arrivèrent au domicile, ils sont partis avant que l’audition ne commence.

L’accusation affirme que Michael Jackson aurait abusé du jeune garçon entre fin février 2003 et début mars 2003 dans la semaine qui suivi cette audition des services sociaux.

Plusieurs témoins entendus lundi 16 Mai 2005 au procès de Michael Jackson ont une fois de plus jeté le doute sur les accusations de séquestration lancées par la famille de la victime présumée, affirmant que ses membres n’avaient jamais tenté d’appeler à l’aide. Certaines des personnes appelées à témoigner par la défense ont par ailleurs présenté le jeune accusateur et son petit frère comme des enfants particulièrement difficiles. Le doute a également été jeté sur l’accusation qui affirme que Michael Jackson a incité ces enfants à boire de l’alcool, les témoins ont indiqué que ce sont les enfants eux-mêmes qui cherchaient à se procurer de l’alcool.

De la même façon, des témoins ont suggéré que ce sont les enfants eux-mêmes qui cherchaient à se procurer des magazines érotiques. L’accusation avait affirmé que Michael Jackson avait montré des magazines et des sites pornographiques sur internet à sa victime présumée et à son frère.

Tout d’abord Jean Seamount, une dentiste, a raconté une visite de la mère de la victime présumée et de ses deux fils, à une époque où cette famille prétend avoir été séquestrée par le chanteur. Cette visite s’est déroulée le 24 février 2003, et a duré environ deux heures. A aucun moment, la mère et ses deux enfants n’ont essayé d’alerter la dentiste ou son assistante, Tiffany Haynes, qui a également témoigné, sur une quelconque menace à leur égard, a déclaré Jean Seamount. Les deux témoins ont souligné le caractère très indiscipliné, voire turbulent, de la victime présumée de Michael Jackson.

Une esthéticienne, Carole McCoy, est ensuite venue raconter elle aussi une visite de la mère de l’adolescent, le 11 février 2003, pour une séance d’épilation qui a duré une heure. Elle était seule et n’a pas demandé une aide particulière liée à sa situation à Neverland, a précisé le témoin. « Est-ce qu’elle a dit quelque chose, ou fait quelque chose qui aurait suggéré qu’elle était retenue contre sa volonté ? » a demandé l’avocat Robert Sanger. « Non » a répondu l’esthéticienne.

Maria Gomez, femme de ménage à Neverland, a aussi affirmé que la victime présumée avait un caractère difficile. Sa chambre était « toujours en gros désordre » et il se comportait « comme un sauvage » , selon elle. Elle a indiqué avoir vu un « magazine pour adultes » dépassant du sac à dos de son jeune frère. Quand il avait témoigné, le frère de la victime présumée avait dit n’avoir jamais vu de magazines érotiques avant que Michael Jackson ne lui aurait montré. Mme Gomez a indiqué que la mère de la victime présumée lui avait dit un jour avoir demandé à ses enfants d’appeler Michael Jackson « papa » .

Concernant la cave, un ancien garde de sécurité du ranch, Shane Meredith, a dit avoir surpris un soir la victime présumée et son frère dans cette pièce, avec une bouteille de vin à moitié entamée. « J’ai vu les deux enfants rire et rire bêtement… Je les ai vu avec une bouteille d’alcool… Je leur ai dit qu’il devait quitter ce lieu rapidement… Ils étaient assez secoués » .

Un cuisinier de Michael Jackson, Angel Vivenco, a raconté comment le petit frère de la victime présumée avait exigé de lui qu’il lui mette de l’alcool dans son milk-shake, faute de quoi il le dénoncerait à la star pour le faire renvoyer.

L’animateur de talk-shows sur CNN Larry King devrait témoigner jeudi, a indiqué lundi à la presse la porte-parole de Michael Jackson, Raymone Bain.