Inspiré de l’histoire de Nike et de ses célèbres baskets Air Jordan, le nouveau film de Ben Affleck intitulé « AIR » sortira prochainement sur Prime Vidéo. Nous retrouverons le réalisateur dans sa distribution, accompagné de Matt damon, Viola Davis, Jason Bateman ou encore Chris Tucker.
Afin de célébrer la sortie du film, Ben Affleck a créé une liste de lecture des classiques des années 80 qui l’ont inspiré pendant le tournage. Parmi cette liste figure Human Nature de Michael Jackson et Say Say Say, le duo avec Paul McCartney dans sa version remasterisée de 2015. A noter que ces titres ne sont pas sur l’album de la bande originale du film.
Vous pouvez accéder à cette playlist sur Spotify ou ci-après.
Vous pouvez voir la bande annonce de « AIR » sur You Tube ou ci-après.
Suite à nos précédentes informations concernant la sortie française du film The Wiz sur différents supports comme l’édition combo Blu-Ray + DVD et DVD le 13 décembre dernier, nous vous rappelons que l’édition Blu-ray seule sortira ce mardi 18 avril 2023.
Si comme nous, vous lisez avant tout les crédits figurant sur les albums de Michael Jackson, vous avez certainement découvert que sur Got To Be There, le tout premier album solo de sa carrière sorti en 1972, le jeune prodige chantait alors You’ve Got A Friend, une reprise d’une chanson écrite par Carole King.
Cette chanson, figurant sur l’album de la chanteuse Tapestry sorti en 1971 fut un grand succès, notamment lorsqu’elle sorti simultanément sur l’album de James Taylor intitulé Mud Slide Slim and the Blue Horizon. En 1972, elle remporte alors le Grammy Award de la chanson de l’année et pour son interprétation, James Taylor remporte alors le Grammy du meilleur chanteur pop. Plus tard, en 2002, cette chanson fut récompensée d’un Grammy Hall of Fame Award.
On comprend alors pourquoi Berry Gordy et son équipe de la Motown, réalisèrent une adaptation de cette chanson pour Michael Jackson en 1972, qui fut également reprise par des artistes comme Barbra Streisand, Tom Jones, Jimmy Cliff, Cliff Richard, Celine Dion ou encore Claude François (Un jardin dans mon cœur) et Sylvie Vartan.
Le 3 juillet 2016, Carole King interprète sa chanson en live lors d’un concert au British Summer Time Festival d’ Hyde Park. C’est la toute première fois qu’elle interprète sur scène, son album Tapestry du début à la fin. Sorti en 2017 en double vinyle, cet album intitulé Carole King, Tapestry Live In Hyde Park fait l’objet aujourd’hui d’une réédition en vinyles de couleur violet et or, limitée à 2000 exemplaires et numérotée.
Vous pouvez écouter cette interprétation de la chanson You’ve Got A Friend en live par son auteure Carole King sur You Tube ou ci-après.
Vinyle audiophile 180 grammes.
Comprend un livret de 8 pages.
Ce double album sera en vente chez les disquaires et revendeurs habituels tels qu’Amazon.fr.
Si vous voulez écouter You’ve Got A Friend en live par Michael Jackson et les Jackson 5, vous pouvez le faire sur l’excellent album Live At The Forum sorti en 2010 et sur You Tube ou ci-après.
Mais ce n’est pas tout. Carole King est également co-auteure de la chanson Up On The Roof, initialement enregistrée par le groupe The Drifters qu’elle interprète sur ce double album. Et comme vous le savez (ou pas), les Jackson 5 ont enregistré une version de cette chanson présente sur l’excellent coffret Come And Get It: The Rare Pearls sorti en 2012.
Vous pouvez écouter Up On The Roof en live par Carole King sur You Tube ou ci-après.
Vous pouvez écouter Up On The Roof par les Jackson 5 sur You Tube ou ci-après.
A noter que Carole King: Tapestry: Live in Hyde Park existe également en CD/DVD et CD/Blu-Ray.
Lien utile: Carole King, Tapestry Live In Hyde Park chez Music On Vinyl.
Après une première compilation intitulée Motown Collected sortie en 2021 dans un double vinyle de couleur blanc et rééditée en couleur noire classique l’année dernière, sachez qu’un volume 2 verra le jour le 12 mai 2023.
Dans une édition limitée à 2000 exemplaires numérotés individuellement et sur double vinyle de couleur blanc, cette nouvelle compilation de succès numéro 1 et de chansons classiques du célèbre répertoire de la Motown propose les chansons « Ben » de Michael Jackson, « Maybe Tomorrow » des Jackson 5 et « Somebody’s Watching Me » de Rockwell.
Vinyle audiophile 180 grammes.
Comprend un insert.
Cette compilation sera en vente chez les disquaires et revendeurs habituels tels qu’Amazon.fr.
Lien utile: Motown Collected Vol. 2 chez Music On Vinyl.
Tracklist :
FACE A:
THE FOUR TOPS – BABY I NEED YOUR LOVING
SMOKEY ROBINSON & THE MIRACLES – GOING TO A GO-GO
MARTHA REEVES & THE VANDELLAS – NOWHERE TO RUN
KIM WESTON – TAKE ME IN YOUR ARMS (ROCK ME A LITTLE WHILE)
EARL VAN DYKE & THE SOULBROTHERS – ALL FOR YOU
JIMMY RUFFIN – WHAT BECOMES OF THE BROKENHEARTED
THE ELGINS – HEAVEN MUST HAVE SENT YOU
THE SUPREMES – YOU KEEP ME HANGIN’ ON
THE ISLEY BROTHERS – BEHIND A PAINTED SMILE
FACE B:
STEVIE WONDER – FOR ONCE IN MY LIFE
TAMMI TERRELL – COME ON AND SEE ME
EDWIN STARR – TWENTY FIVE MILES
THE TEMPTATIONS – BALL OF CONFUSION (THAT’S WHAT THE WORLD IS TODAY)
MARVIN GAYE – MERCY MERCY ME (THE ECOLOGY)
THE JACKSON 5 – MAYBE TOMORROW
DIANA ROSS – REMEMBER ME
MICHAEL JACKSON – BEN
FACE C:
STONEY & MEAT LOAF – THE WAY YOU DO THE THINGS YOU DO
La British Phonographic Industry, plus connue sous ses initiales BPI, vient de mettre à jour ses certifications parmi lesquelles figure le single de Thriller dorénavant certifié* double Disque de Platine avec la vente de 1 200 000 unités. Il est tout à fait normal que cette certification en date du 17 mars dernier vous paraisse peu élevée, puisqu’elle représente uniquement les ventes de ce titre à partir du 14 novembre 2004.
De son côté, le single de Michael Jackson Off The Wall, a lui été certifié disque d’argent le 24 mars dernier, avec la vente de 200 000 unités à compter du 14 novembre 2004.
A noter pour les certification BPI que depuis 2014 (Singles) et 2015 (Albums), le décompte des ventes a reflété la consommation via le streaming audio et en avril 2018, les certifications ont été rebaptisées des BPI Awards aux BRIT Certified Awards, avec l’admissibilité aux flux vidéo ajoutée peu de temps après.
*Lorsqu’un single ou un album a atteint le niveau de ventes approprié tel que mesuré par la société Official Charts, les titres sont désormais «automatiquement certifiés» par le BPI. Les streams comptent désormais pour les certifications d’albums et de singles et sont mesurés selon les règles d’éligibilité des graphiques établies par la société Official Charts.
Le site Gabfest a mis en ligne une interview du cinéaste britannique Jin Chohan, directeur de Takeflight Film LTD et ayant travaillé dans une société de production travaillant pour une série de documentaires sur CNN. Celui-ci a décidé de s’attaquer à la réalisation d’un documentaire proposant un regard rétrospectif sur la place de Michael Jackson dans la culture américaine.
Du nom de « Trial by Media: The Michael Jackson Story » (The dehumanization of an american icon), le documentaire dont nous avions entendu parler en 2021 explorera la manière dont les médias ont façonné la perception de Michael Jackson par le public en général.
Si Jin Chohan a décidé de s’attaquer à ce projet en 2019 après la diffusion du « documentaire » Leaving Neverland, son film est actuellement terminé à environ 60%. Il a l’espoir de pouvoir le sortir d’ici le milieu de l’année prochaine. Le film devrait se présenter dans une série en trois parties et devrait être proposé pour un service de streaming majeur.
Voici pour vous quelques extraits de cette interview :
Gabfest: Le documentaire sur lequel vous travaillez en ce moment – Trial By Media : The Michael Jackson Story – a suscité beaucoup d’intérêt. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans ce projet ?
Jin Chohan: J’ai décidé de faire ce projet à l’origine en 2019 après la diffusion du documentaire ‘Leaving Neverland’. Ce qui m’a frappé, c’est le contrecoup dont j’ai été témoin en ligne par rapport à ce dont on parlait dans les médias grand public. J’ai senti qu’il s’agissait là d’une déconnexion intentionnelle, et ce fut vraiment le début de mes efforts pour m’appuyer sur le sujet dans son ensemble et créer « Trial by Media: The Michael Jackson Story ». Je sentais qu’il y avait une histoire beaucoup plus profonde à raconter sur nous, le public, et notre relation avec les célébrités et les médias.
Vous avez déjà investi beaucoup de temps dans le documentaire. Comment cette expérience s’est-elle déroulée jusqu’à présent et quels ont été les plus grands défis auxquels vous avez dû faire face ?
Jusqu’à présent, l’expérience a été incroyablement enrichissante en tant que cinéaste et pour le sujet lui-même. J’ai beaucoup appris depuis que j’ai commencé ce projet. De parler avec la famille de Michael Jackson aux personnes qui ont travaillé avec lui, à ses avocats et journalistes, les histoires qui ont été partagées sont révélatrices. En tant que cinéaste, ce voyage m’a permis de mettre en pratique une grande partie de ce que j’ai appris à l’UCLA (Université de Californie à Los Angeles) , et j’ai l’impression d’apprendre et de grandir chaque jour. Les défis auxquels j’ai dû faire face consistaient à considérer ce sujet comme le premier grand projet de mon entreprise. Il aurait été difficile de mettre un pied dans la porte pour accéder au monde de Michael Jackson, mais heureusement, cela a fonctionné. J’ai interviewé plus de 20 personnes avec environ 70 heures et plus de séquences. Chaque entretien était un défi.
Ici, Jin Chohan et Taj Jackson.
Selon vous, pourquoi ce documentaire doit-il être réalisé ? Qu’y a-t-il à propos de Michael Jackson et des médias qui doivent être explorés, à votre avis ?
Je pense que Michael Jackson est presque un miroir de la société à certains égards. J’ai l’impression que les gens voient et projettent leurs propres défauts sur les autres et Jackson étant une figure si énorme qu’il attire beaucoup d’attention. Cela étant dit, je pense qu’il est très important que nous nous traitions correctement dans la société et que nous suivions la loi sans émotion impliquée dans nos jugements. Ce sont des idées avec lesquelles je pense que tout le monde peut être d’accord, donc créer ce film est important pour mettre un miroir sur la société et se poser des questions auxquelles il peut être difficile de répondre. C’est une histoire qui a ses racines dans l’histoire de l’Amérique et la relation de l’Amérique avec la célébrité, ce qui est si répandu dans la culture d’aujourd’hui avec les médias sociaux maintenant plus que jamais. L’histoire de Michael Jackson – avec le recul – lorsqu’elle est démêlée peut nous en dire beaucoup sur nous-mêmes.
Qui a été impliqué dans le projet jusqu’à présent, si vous êtes en mesure de nous le dire ?
J’ai eu la chance de parler avec un certain nombre de personnes proches de Michael Jackson, de sa famille à des personnes qui ont travaillé avec lui. De Tom Mesereau à Linda Deutsch d’Associated Press, en passant par le géant des relations publiques des années 1970/80 Howard Bloom, en passant par les journalistes musicaux. Lors des entretiens, les histoires ont été très variées et éducatives pour tout le monde.
Au cours de ce processus, avez-vous appris quelque chose sur Michael Jackson qui vous ait surpris ?
J’ai beaucoup appris, et je veux dire beaucoup avec un point d’exclamation. Au départ, je me suis lancé dans le projet en sachant que l’histoire allait grandir et changer, et elle a beaucoup grandi dans l’âme. J’ai appris que les gens s’en soucient vraiment et la façon dont il traitait les gens a vraiment duré sur la plupart des gens autour de lui. Les histoires partagées dans le film – chacune – ont ouvert les yeux. De certaines interviews très émouvantes dès le début à d’autres qui étaient étonnamment différentes de ce à quoi je m’attendais. Et en particulier, le côté recherche de ce film a changé mon opinion sur les médias et la culture pop en général.
À quoi les gens peuvent-ils s’attendre de la série – Quel message essayez-vous de faire passer dans sa sortie ?
Je veux faire tourner les rouages dans l’esprit des gens et les faire réfléchir d’un point de vue différent. Ce que je ne fais pas, c’est répondre aux questions que le public peut avoir, mais simplement relayer des informations d’une manière convaincante qui ouvre une porte sur la « maison de Michael Jackson » dans laquelle nous avons été entraînés au cours des 35 dernières années. Je veux que ce film ouvre simplement cette porte pour que les gens soient suffisamment intrigués pour traverser et voir les choses sous un angle différent, pas seulement à propos de Jackson mais aussi des médias.
Quelle est votre opinion sur le documentaire Leaving Neverland de Dan Reed ? Il y a eu beaucoup de critiques selon lesquelles il n’a pas exploré d’importantes incohérences dans les allégations de Wade et James…
Je pense que le film est fondamentalement un film, c’est bien de partager des histoires mais une histoire juste est primordiale et cela ne semble pas être le cas. Ce qu’il faut faire, c’est avoir un regard juste des deux côtés. Le public mérite la vérité et je sens que l’appétit du public pour la vérité est très miné. La façon dont les médias ont traité ce sujet semble être très biaisée du côté des cinéastes. Les incohérences ont été abattues sans aucune réflexion. La liberté d’expression est merveilleuse, mais parfois nous devons supporter beaucoup de gâchis pour entendre ceux qui le méritent.
Vous pouvez voir des extraits du tournage sur You Tube ou ci-après :
En plus de Tom Mesereau, Linda Deutsch d’Associated Press, le géant des relations publiques des années 1970/80 Howard Bloom et Taj Jackson, Jin Chohan a pu s’entretenir avec Bill Whitfield, chef de la sécurité de Michael Jackson de 2006 à 2009, Stacy Walker, chorégraphe sur This Is It et Helene Phillips assistante chorégraphe sur Captain Eo.
Une demande de dons sur Go Fund Me avait été réalisée en 2020 et est toujours en cours. Jin Chohan y donne des nouvelles régulièrement et les dernières datent du 8 mars dernier.
Defacing Michael Jackson est une nouvelle comédie présente au Colony Theatre par Miami New Drama du 9 mars au 2 avril de cette année (Lincoln Road à Miami Beach, USA).
Synopsis : Situé au milieu des marais et des canaux de la Floride rurale, Defacing Michael Jackson suit un groupe hétéroclite d’adolescents afro-américains qui créent leur propre fan club de Michael Jackson en 1984. Mais lorsqu’une famille blanche s’installe dans le quartier et que leur fils tente de rejoindre le club, toutes les règles de la communauté sont remises en cause, et les relations de chacun commencent à s’effriter. Defacing Michael Jackson est une comédie noire sur la perte de l’innocence, le culte des héros et l’identité américaine.
A noter que cette comédie fut produite pour la première fois en 2018 par Alexis J. Roston pour Flying Elephant Productions à Chicago. Il s’agit donc ici d’une nouvelle écriture d’Aurin Squire et réalisée par Shaun Patrick Tubbs. Aurin Squire, originaire de Miami est connu comme scénariste des séries « Evil », « The Good Fight » et « This Is Us ».
D’une durée de 45 minutes, cette comédie propose quelques fond sonores de Michael Jackson réalisés par Quentin Chiappetta ainsi que de brefs extraits de chansons du Roi de la Pop chantés par les différents acteurs. On peut lire parmi les critiques que Tout le monde enfile un gant à paillettes et les acteurs exécutent une séquence de danse courte mais extraordinaire à l’appel du rideau (un moonwalk est alors réalisé). Ce que le chorégraphe Randolph Ward a imaginé est le genre de moment tant attendu qui fait que la foule souvent silencieuse devient alors déchaînée.
Si vous voulez connaître la réaction du public au regard de la présence de Michael Jackson en fond d’histoire, vous pouvez voir quelques réactions sur You Tube ou ci-après.
Si dans une page spéciale, nous vous parlions de Marvel et de la présence de Michael Jackson dans certains magazines des années 80, le site CBR.com nous apprend aujourd’hui qu’un leader vétéran des X-Men est une fan de longue date de Michael Jackson.
En effet, dans le X-Men # 20, Broo, un ami des X-Men, a acquis la capacité de contrôler la race extraterrestre insectoïde – les Brood, qui a évolué pour se reproduire et se nourrir de toutes les ressources possibles à travers l’univers. Afin de s’assurer que le danger est maitrisé, l’héroïne Magik (de son vrai nom Illyana Nikolievna Rasputina) accompagnée de Jean Grey, va voir Broo qui pour le lui prouver, fait danser les Brood sur la chorégraphie de Thriller de Michael Jackson.
En faisant des recherches, on s’aperçoit alors que Magik était déjà fan de Michael Jackson lors d’un épisode de Nightcrawler de Dave Cockrum en 1985 ou elle arbore un t-shirt à l’effigie de Michael Jackson.
Cette petite histoire montre une fois de plus quelle a été l’influence de Michael Jackson et de son court métrage Thriller sur toute une génération et dans tous les domaines.
Suite à l’info de RadarOnline.com dont nous vous parlions le 23 novembre 2022 et qui nous apprenait que selon des documents judiciaires, l’Estate était sur le point de signer un accord lucratif concernant la succession de Michael Jackson, la même source nous informe maintenant que Katherine, la mère de Michael Jackson a déposé une objection concernant ce projet.
Selon des documents judiciaires obtenus par RadarOnline.com, Katherine, 92 ans, et son avocat, ont demandé à un tribunal de sceller les dossiers relatifs à leur «objection» à un récent dépôt par la succession de Michael.
Katherine a demandé que sa requête soit scellée par le tribunal car elle « contient des informations sensibles concernant la famille et la vie privée de Mme Jackson ».
Son avocat a fait valoir que si le dossier était rendu public, cela conduirait à « une large diffusion de ces informations sensibles dans les médias ».
Katherine a ensuite déposé une objection de 7 pages sous scellés. Elle a déclaré que l’objection concernait une récente requête présentée par la succession de Michael, qui est dirigée par John Branca et John McClain . La requête en question a été déposée par la succession le 16 novembre 2022 et demandait au tribunal d’approuver une transaction commerciale secrète.
Hier, la vingtième édition du Festival international du documentaire Santiago Álvarez In Memoriam s’est terminée au cinéma Rialto, situé tout près du parc central Céspedes de la ville de Santiago de Cuba, après cinq jours remplis d’excellentes projections, de panels théoriques et de master classes.
Lors de la cérémonie de remise des prix, le jury, composé de personnalités nationales et internationales de ce genre cinématographique, a décerné la première place et le prix de la réalisation à Sonic Fantasy, de Marcos Cabotá.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.Ok
