Michael Jackson réincarné en machine à sous hi-tech !
On va commencer cet article avec un rappel important : Les jeux d’argents peuvent comporter des risques d’addiction et demeurent interdits aux mineurs. Voilà passée cette info, nous pouvons rentrer dans le vif du sujet : Le Roi de la Pop est la vedette d’une machine à sous dernier-cri signée Bally, depuis novembre 2011 aux USA. Sa sortie dans les casinos d’Europe est prévue cette année en 2012 !
Vous avez bien lu, ce n’est pas du tout une plaisanterie. L’info vient d’être communiquée par le constructeur.
Pour la petite histoire, le monde du jeu quel qu’il soit n’est pas du tout étranger à Michael ! Le roi de la pop souhaitait d’ailleurs au milieu des années 1990 investir dans la construction d’un Casino… Les fans vétérans s’en rappellent forcément. Le feu magazine Black and White avait évoqué le sujet dans ses pages.
Ce n’est donc pas un hasard si la star investit cette année la carcasse d’une vraie machine à sous. Et au bout du compte, ce n’est pas si choquant. Michael fréquentait souvent Las Vegas. Et il est d’usage de rattacher sa musique à la chance (c’est ce que fait d’ailleurs le générique du Loto en France). Son image clinquante donne naturellement de l’éclat aux mécanismes de ce « slot » dernier cri. Quand à sa licence, elle a été utilisée pour tout et n’importe quoi depuis sa disparition. Alors finalement, pourquoi pas dans un jeu d’argent… qui pour le coup est plus que classe. Car il s’agit d’une machine dernier cri.
Une machine à sous très haut de gamme à mise modérée
Une machine dernier cri, car elle use de toutes les dernières innovations en matière de machine à sous. Elle mêle la sensation des « vrais rouleaux » aux bonus en tous genres des écrans haute-définition. Elle utilise la technologie « U-Spin », qui intègre le touché tactile à certains mini-jeux contextuels dont un lancé de roue. Elle balance au visage des effets sonores assourdissants, des hologrammes en surimpressions et un visuel pétaradant pour une immersion absolue. Cerise sur le gâteau, la licence Michael Jackson permet d’étaler des bruitages, extraits de clips et images rattachés au culte du King. C’est sûr, les fans de visite dans les casinos vont craquer face à ce grand-huit émotionnel. Les mises, elles, resteront modérées (on joue des centimes) car la machine souhaite toucher un large éventail de joueurs.
Le constructeur Bally, légendaire pour les initiés, est réputé dans le monde entier pour la finition exceptionnelle de ses machines à sous. Il innove constamment et est impliqué directement dans le succès des casinos terrestre encore aujourd’hui. De fait, on peut d’ores et déjà avoir la certitude que la borne King of Pop sera étincelante et très, très haut de gamme ! De là à dire qu’il s’agit d’ores et déjà d’un objet de collection culte, il n’y a qu’un pas lunaire…
Un collector de malade mental
D’aucuns diront qu’il sera très dur de ne pas être pris de pulsion de cleptomanie face à la borne ! Et la cleptomanie dans un casino, c’est plutôt déconseillé (et c’est un euphémisme). Alors que faut-il faire pour acquérir une telle machine de malade chez soi ? Avouez qu’on y a tous pensé inconsciemment, à la lecture de l’article !
Prier pour qu’un casino un jour s’en sépare et décide de vendre la bécane sur Internet ? Très peu probable, car il faut posséder une licence dans notre pays pour acheter une telle machine. Quant aux casinos, ils restituent depuis 2000 les nouvelles machines de Bally au constructeur… qui les recycle et se refuse de les laisser circuler chez les particuliers. Etre copain avec un directeur de casino ? Là encore, il n’aurait pas la permission de vous concéder la machine. Etre constructeur chez Bally ? Non, car vous avez signé un contrat vous interdisant ce type de trafic. Etre une divinité ? Ce n’est pas à là porté de tout le monde.
Moralité : Il n’y a QUASIMENT AUCUNE CHANCE que ce type de collector (car s’en est un monstreux) atterrisse dans une baraque d’ici les 20 prochaines années… si ce n’est jamais.
Voilà, on peut maintenant baver sur cet objet si on le croise un jour dans une salle de jeu. Le mieux est d’y mettre une petite pièce raisonnablement et pis de tenter sa chance. Histoire de se faire une Michael Jackson Expérience aussi intense qu’éphémère. Une sorte de retrouvaille improbable, quasi-irrationnelle, avec le spectre du Roi de la Pop dans un lieu où tout est artifice et finalement rêve.
Ceux qui ont eu la chance d’essayer la machine, aux USA, expliquent actuellement que toutes les sessions de jeu modéré font au moins leur effet. Qu’on a clairement du spectacle, mais que ce n’est pas une machine « spécialisée dans les Big Win. Reste qu’il semble y avoir assez de tours gagnants et de joker en veux-tu en voilà pour passer un bon moment… Avec la perspective de ramasser le petit billet qui va bien.
Terminons enfin par rappeler que MJ avait déjà fait l’objet par le passé d’une adaptation en machine à sous… Mais le modèle proposé à l’époque n’a strictement rien de comparable avec ce qui sera proposé bientôt. Il tournait par ailleurs sur logiciel informatique basique. L’image de Michael, enfin, a aussi été utilisée à la sauce Pachinko, les machines à sous Japonaises. Et sinon, Bad25 dans tout ça c’est pour quand ?!
F.B.
Le monstre de Bally signé MJ en exercice :
http://www.youtube.com/watch?v=FvtqonNOeiI&feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=jEZk7pI0KS4″
Ici une machine à sous japonaise type Pachinko :