Le magazine Us Weekly a annoncé que le milliardaire Donal Trump serait actuellement en pourparlers avec Michael Jackson afin de le faire remonter sur scène avec un spectacle de longues dates au New Frontier Hôtel and Casino de Las Vegas.

Selon ce magazine, Donal Trump estimerait que si Michael Jackson était acquitté des accusations d’abus sexuels portées contre lui, il pourrait, en acceptant un tel projet, attirer plus de monde que Céline Dion, dont le spectacle a généré plus de 80 millions de dollars en 2004.

Donald Trump, qui affirme que Michael Jackson aurait montré un certain intérêt pour ce projet aurait indiqué : « Tout ce que je fais est une réussite et tout ce que fait Phil Ruffin avec moi est le meilleur et ceci ne sera pas une exception à la règle. »

Mercredi 23 mars, l’un des avocats de Michael Jackson, Brian Oxman s’est senti mal à la fin de l’audience et a eu un malaise. Il a dû être évacué par ambulance vers un hôpital local. (Atteint d’une pneumonie, son état est actuellement stable et il se repose)

L’audience de mercredi a été consacrée aux diverses revues érotiques saisies lors d’une perquisition dans la chambre du King Of Pop. L’accusation a fait visionner aux jurés quelque 70 images sur grand écran montrant des nus féminins en tous genres. Le juge Rodney Melville, qui préside le procès, a cependant refusé à l’accusation de soumettre au jury d’autres contenus érotiques retrouvés sur les ordinateurs saisis dans la chambre de Michael Jackson.

L’accusation a tenté de démontrer que la star aurait utilisé ces magazines pour désinhiber le jeune garçon avant de le soumettre à des attouchements. Mais certains des experts présents à l’audience doutaient de l’efficacité de cette stratégie. Pour l’ancien procureur Jim Hammer, la projection de ces images peut servir à choquer des jurés conservateurs, mais « l’arme est à double tranchant, parce qu’en même temps, cela permet d’humaniser » Jackson, accusé de s’intéresser sexuellement aux pré-adolescents, en soulignant justement un profil d’homme hétérosexuel.

L’accusation, a fait témoigner mardi Louise Palanker à la barre du tribunal de Santa Maria.
Cette comédienne qui a donné 20.000 dollars à la famille accusatrice a expliqué qu’elle a reçu un coup de fil de la mère du garçon, en larmes, qui laissait penser que sa famille était retenue contre sa volonté pas les proches de Michael Jackson. Louise Palanker a déclaré qu’elle avait essayé de contacter la mère de l’adolescent après avoir vu à la télévision le documentaire «Living With Michael Jackson».

Elle a été choisie comme témoin par les procureurs pour tenter de prouver que Michael Jackson a comploté pour garder captive la famille du garçon après la diffusion du documentaire du journaliste britannique Martin Bashir le 6 février 2003, afin de les forcer à enregistrer une vidéo pour clamer la bonne foi du chanteur. (Nous précisons encore ici que les dates d’accusation d’abus sexuels auraient eu lieu selon l’accusation bien après la diffusion de ce documentaire)
Selon la comédienne, elle a laissé un message aux grand-parents du garçon et la mère de l’adolescent l’a rappelée peu après et semblait effrayée. «Elle était extrêmement agitée et elle chuchotait presque. … C’était de l’agitation créée par la peur», a assuré Louise Palanker.
Selon ce témoin, la mère lui a dit: «ne me rappelez pas ici. Ils écoutent tout ce que je dis. Ces gens sont maléfiques.» «J’ai demandé ‘est-ce que les enfants sont à l’école?’, elle a répondu ‘Non’. C’est alors qu’elle a commencé à pleurer», a-t-elle raconté, soulignant qu’elle ne sait pas où la mère de l’adolescent se trouvait au moment de cet appel téléphonique.

Louise Palanker fait partie des nombreuses personnalités du showbiz ayant été contacté par la famille afin de récolter « charitablement » de l’argent. Celle-ci a versé des sommes considérables spontanément mais aussi sur demande de la famille.

C’est sous la pluie que Michael Jackson est arrivé ce jour au tribunal paraissant dans un état de santé beaucoup moins alarmant qu’hier ou celui-ci avait déclaré en sortant de l’audience « Je souffre, j’ai très mal, j’ai très mal…« 

Lundi 22 mars, les débats avaient repris avec le témoignage de la comique Louise Palanker, qui a rencontré la victime présumée de la star lorsqu’il souffrait d’un cancer en 1999. Comme d’autres comédiens venant en aide aux familles défavorisées à Los Angeles, elle avait offert de l’argent au père de l’adolescent pour contribuer à financer ses soins.

Le jury a également entendu Lauren Wallace, une hôtesse de l’air qui a servi M. Jackson et sa famille lors d’une vingtaine de déplacements sur des jets privés. Celle-ci a confirmé que la star buvait parfois du vin blanc dans des canettes de soda, mais n’a jamais rencontré la victime présumée qui accuse le chanteur de lui avoir fait boire une boisson alcoolisée de cette manière.

Source : AP/AFP

C’est dans une ambiance très jacksonienne que nous avons retrouvé nos amis du MJB, lors de leur deuxième fan meeting à Bruxelles. Ils étaient tous là : Pascal, Christophe, Yab, Pad’R… et tous les autres pilliers du MJB que nous oublions! Après un petit moment de discussions entre les fans, nous avons pu visionner quelques vidéos rares de Michael, des Jackson 5 à notre époque!

Voici quelques photos de l’événements :

Vous pouvez aussi télécharger deux vidéos, de prestations faites à la demande du public par Yann et Philippe. Ces prestations n’étaient pas prévus à l’origine, faisant de ces quelques minutes d’improvisations des moments très forts pour les fans !

Téléchargez la prestation de Yann
Téléchargez la prestation de Philippe

Merci au MJB pour l’organisation de cet événement, il fallait le faire, ils l’ont fait! 🙂

Le juge Rodney Melville a consenti vendredi 18 Mars à retenir le témoignage voulant que le jeune accusateur de Michael Jackson ait déjà prétendu que le comédien George Lopez lui avait volé son portefeuille. En effet, l’avocat de Michael, Robert Sanger, a indiqué que M. Lopez et le garçon s’étaient rencontrés dans une salle de spectacles d’humoristes, mais qu’ils s’étaient par la suite disputés. M. Sanger a ajouté que le garçon avait, à l’insistance de son père, accusé le comédien de lui avoir subtilisé son porte-monnaie. La défense a démontré une fois de plus que cet incident est révélateur de la tendance de l’accusateur à vouloir soutirer de l’argent à des célébrités. Tom Sneddon, de son coté, s’opposait à ce que soit retenu le témoignage concernant l’affaire du portefeuille. Selon lui, le garçon avait tenté de s’opposer au plan de son père, consistant à dire que le porte-monnaie contenait 300 $ US.

Source : Presse Canadienne

L’accusation et la défense de Michael Jackson se sont affrontées vendredi 18 Mars pour convaincre le tribunal de faire ou non témoigner à la barre un jeune homme ayant accusé la star d’abus sexuels au début des années 1990. Le juge Melville a indiqué que ce témoignage était « recevable » mais qu’il réservait sa décision. « Je ne suis pas tout à fait prêt, je ne suis pas encore tout à fait décidé« , a-t-il dit. Le procureur Sneddon a de nouveau demandé que ce témoignage intervienne « jeudi ou vendredi » prochain. Pour sa part, l’un des avocats de Michael Jackson, Robert Sanger, a demandé d’avoir suffisamment de temps pour se préparer à cette audience. Le juge Rodney Melville, a décidé d’organiser le 28 mars une audience spéciale, sans jury, pour entendre les arguments de l’accusation et de la défense sur l’intérêt de présenter les témoignages d’anciennes victimes présumées aux jurés.

« Je vais vous laisser présenter vos arguments« , a dit le juge en s’adressant aux deux parties « et ensuite je pourrais ou non demander qu’interviennent les témoins » notamment d’une affaire remontant à 1993. Il a expliqué ne pas souhaiter pour l’instant entendre directement les témoins, préférant d’abord entendre un résumé des éléments par les avocats des deux parties. L’avocat du chanteur, Robert Sanger, a appelé le juge à s’interroger sur les éléments avancés jusqu’ici par l’accusation, afin de déterminer s’ils sont suffisamment solides pour justifier d’évoquer des affaires anciennes n’ayant pas donné lieu à des poursuites pénales. Il l’a également mis en garde contre les risques de « confusion » pour le jury.

Enfin, le juge a autorisé que l’état des finances de Michael Jackson soit évoqué devant le tribunal, comme possible motif pour sa tentative de séquestrer la famille de sa victime présumée. Mais il a précisé qu’il refuserait des échanges prolongés sur l’état précis des finances de la star.

Source : AP/AFP

Kiki Fournier, une femme de ménage de Michael Jackson ayant travaillé plus de dix ans à son service a témoigné jeudi 17 mars donnant des détails sur les enfants généralement présents à Neverland les qualifiant d’enfants rois très souvent impolis et turbulents, d’enfants sans horaires, qui se couchaient tard et mangeaient souvent des bonbons.

A la question de savoir si elle avait remarqué un changement de comportement chez les enfants invités, elle a décalré : « Plus on les laissait libres de jouer, plus ils devenaient déchaînés et incontrôlables« .

A propos de la victime présumée, Kiki Fournier souligne que « sa chambre était un vrai foutoir« . « Au début, ce n’était pas comme ca« . Elle dit avoir vu des objets brisés, des liquides renversés, des verres à vin cassés, des meubles déplacés et l’intérieur du frigo comme balayé par une tornade.

Sur interrogation de Thomas Mesereau à propos de la victime présumée: « Est-ce qu’il dormait dans la chambre? » « Je pense que oui mais je ne suis pas sûre« , répond le témoin, qui semble ainsi contredire l’affirmation selon laquelle la victime présumée a passé ses nuits dans la chambre du chanteur.

Elle décrit l’adolescent et son frère, alors âgé de 12 ans, comme des enfants gâtés. « Ils sont devenus très exigeants« , souligne-t-elle. Ce frère voulait toujours manger quelque chose d’autre que ce qui était préparé, précise-t-elle. En février 2003, selon elle, le gamin, qui voulait se faire à manger en dehors des heures de repas, a été jusqu’à la menacer d’un couteau dans la cuisine alors qu’elle faisait la vaisselle.

Le juge Rodney Melville a indiqué que la séance vendredi, qui devrait être courte, se déroulerait sans le jury ni témoins. Trois ou quatre questions sont à régler avec le procureur et l’avocat de la défense, a-t-il précisé.

Source : AP/AFP

Mercredi 16 Mars, la défense de Michael Jackson a souligné l’importance de l’information au sujet des empreintes digitales trouvées sur un magazine et utilisé par l’accusation comme une preuve de la culpabilité de Michael.

La défense a souligné que ces empreintes avaient pu être obtenues devant le Grand Jury et non pendant la période ou l’accusateur a formulé ses plaintes.

Selon Jennifer London de MSNBC, la défense a montré au tribunal que le magazine n’avait pas fait l’objet de prises d’empreintes jusqu’à l’été 2004 mais uniquement après que le Grand Jury ait porté l’acte d’accusation. Jennifer London : « …cependant, lors du contre-interrogatoire d’aujourd’hui, un des détectives a indiqué que des empreintes digitales de l’accusateur n’avaient pas été prises d’un des magazines avant le déroulement du Grand Jury. La signification : la défense revendique le fait que les empreintes digitales du jeune accusateur existent parce qu’il a touché le magazine pendant le témoignage devant le Grand Jury.« 

Source : MJEOL