Le site de la Fnac annonce qu’un Blu-ray de Sauvez Willy sortira le 31 janvier 2024. La jaquette définitive n’a pas encore été mise en ligne.

Comme vous le savez, le titre Will You Be There de Michael Jackson figure sur la B.O du film. Les fans du Roi de la Pop auront un œil attentif à cette nouvelle sortie puisque certains Blu-ray dans d’autres pays et certaines éditions spéciales du DVD proposent dans leurs bonus le clip de Will You Be There.

Pour le moment, il n’est pas annoncé dans les caractéristiques de cette édition sur la Fnac, mais nous ne manquerons pas de vous aviser dès que nous obtiendrons de plus amples informations.

Il y a quelques jours, une société suédoise du nom d’anotherblock a annoncé qu’à partir du 7 décembre et pour 4 jours seulement, les fans pourraient avoir la possibilité d’acquérir une copie digitale de la chanson « Big Boy » (One-derful Version) que vous connaissez tous et interprétée alors par le jeune Michael Jackson.

Les prix exorbitants de 25$ et 100$ selon le package, a tout de suite attiré notre attention et nous a rappelé au souvenir de la vente de 2014, lorsque le 45 tours vinyle avait été mis en vente à des conditions d’obtention draconiennes où il fallait débourser 150$ et faire partie des 500 premiers acheteurs pour l’obtenir.

Cette pratique étant douteuse, nous avons fait le choix de ne pas vous en parler (en dehors de notre forum de discussion). Hier, le site de Billboard a annoncé que l’Estate a envoyé une lettre jeudi 7 décembre, dans laquelle l’avocat de la succession Jonathan Steinsapir a clairement informé l’entreprise suédoise de plusieurs problèmes qui pourraient « vous exposer à une responsabilité envers la succession Jackson ».

Entre autres choses, la lettre (qui a été obtenue par Billboard ) avertissait que la succession détenait tous les droits sur le nom, l’image et la ressemblance de Michael Jackson, ainsi que sur ses marques. « Compte tenu de cela » , a écrit Steinsapir, « toute utilisation du nom, de l’image et de la ressemblance de Michael dans le marketing, la publicité ou dans le produit lui-même viole les droits de la succession Jackson. »

Le différend naissant porte sur une version de 1967 de la chanson « Big Boy » des Jackson 5 , dont une version ultérieure a été commercialisée en 1968. La version antérieure est appelée « One-derful Version » car elle a été enregistrée au One-derful Version de Chicago. -derful Studios. Selon Rolling Stone , cette version de la chanson a fait surface pour la première fois en 2009 et est sortie en 2014 sur vinyle.

Dans sa lettre de jeudi, la succession a averti que les accords conclus par la société suédoise pour faciliter la vente de « Big Boy » pourraient être invalides s’ils couvraient des droits contrôlés uniquement par la succession de Michael, comme ses droits de marque. Et les avocats de la succession ont fortement remis en question l’affirmation selon laquelle la « version One-derful » était le premier enregistrement en studio de Michael Jackson.

« Nous n’avons aucune information confirmant que les enregistrements inédits que vous mettez à disposition constituent en fait la première fois que la voix de Michael Jackson était enregistrée sur bande ou même que c’était la première fois qu’il enregistrait en studio » , a déclaré l’avocat de la succession. « En effet, nous avons de bonnes raisons de croire que ce n’est pas la première fois que Michael Jackson enregistre en studio. C’est pour cette raison que vous induisez probablement le public en erreur. »

Un article de 2009 du Chicago Reader a qualifié le morceau « One-derful » de « premier enregistrement en studio connu de Michael Jackson et de ses frères ». Un article de 2014 de Rolling Stone a également qualifié l’enregistrement de « premier enregistrement Jackson 5 disponible dans le commerce ».

Dans la lettre de jeudi, la succession a également vivement critiqué la décision de publier des chansons inédites, affirmant à la société suédoise que Michael Jackson était « un perfectionniste accompli » et qu’il avait été « très prudent quant aux enregistrements qu’il rendait publics. »

« Pour cette raison, nous doutons sérieusement que Michael ait jamais voulu que ces enregistrements soient publiés et commercialisés » , ont écrit les avocats de la succession. « En tant que personnes désignées par Michael pour protéger son héritage après son décès prématuré, les co-exécuteurs testamentaires ont le devoir de le souligner. Ce que vous faites est le contraire d’honorer Michael Jackson. »

Comme si le message n’était pas assez clair, au bas de la lettre, la succession avertissait qu’elle se réservait « tous les droits et recours de la succession Jackson  » , y compris le droit de demander des dommages-intérêts et une injonction bloquant de nouvelles ventes.

Une porte-parole de la société suédoise n’a pas accepté de faire de commentaire.

Sources: Billboard / MJVIBE / MJFrance.

Le site officiel des Funko Pop vient enfin de référencer la Funko Pop Michael Jackson Superbowl après que celle-ci ait été référencée depuis quelques temps par de multiples sources.

Vous pouvez avoir accès à la page de référence sur Funko Europe ici bien que celle-ci ne soit pas encore mise en vente.

A noter que la Funko Pop Michael Jackson Diamond (1984) dont nous vous parlions le 30 août dernier est également référencée et mise en vente dès maintenant ici alors que certains distributeurs la propose déjà depuis peu.

Le 18 novembre 2022 et afin de fêter les 40 ans de l’album le plus vendu de tous les temps, sortait Thriller 40, un double CD contenant l’album original et 10 chansons rares ou démos. Le 30 novembre de la même année, un documentaire du même nom était diffusé dans plusieurs grandes villes du monde entier mais pas en France. L’Estate, ayant donc fait le choix de le montrer aux fans et pour leur plus grand plaisir, mais pas chez nous.

Cela fait donc un an que nous attendions avec impatience de voir ce fameux documentaire à la gloire de Thriller, l’album le plus vendu de toute l’histoire de la musique, et de Michael Jackson, l’artiste qui a permis que ce vœu, son vœu, puisse ainsi se réaliser.

Comme annoncé sur nos différentes communications, le documentaire a donc été diffusé sur MTV le 2 décembre et sur la plateforme de Paramount+ le lendemain. Sachant que sa première diffusion allait être entrecoupée de multiples pauses publicitaires, nous avons fait le choix de patienter afin de le voir en entier, comme il se doit.

Après un premier visionnage, il nous a paru important de le regarder à nouveau afin de ne rien oublier et d’apprécier pleinement son contenu. En voici donc notre critique.

Dans ce genre de documentaire notre perception est toujours double: celle du public en général et celle du fan en particulier. Pour le public en général, on peut considérer qu’il s’agit d’un bon documentaire dans le sens qu’il raconte une histoire, avec de belles images d’archives, des narrateurs plus ou moins connus et le tout sur la musique de l’album Thriller, qu’il doit connaître obligatoirement. Michael Jackson est bien mis en avant, comme il se doit et l’époque est assez bien décrite, une autre époque, évidemment.

Une fois qu’on a dit ceci, ok, mais pour les fans alors ? Allions-nous découvrir quelque chose de nouveau ? Est-ce que tous les intervenants qu’on imagine vont y être ? Est-ce que l’histoire va être racontée comme on l’aime, à la lettre ? Nous qui avons lu tant et tant de livres, épluché tous les crédits des albums, des rééditions, vu tant de témoignages et de vidéos, qu’allons-nous voir ? L’appréhension et l’attente sont effectivement à la hauteur d’un tel événement.

Dès le départ et tout au long du documentaire, nous sommes ravis de voir toutes ces images d’archives totalement inédites et la qualité des images du Victory Tour. C’est un vrai bonheur que de voir leur qualité et de se dire qu’elles existent jusqu’à nous faire rêver pourquoi pas, de les voir un jour dans une diffusion du concert en entier. La qualité semble tellement extraordinaire pour l’époque, qu’on se met à rêver d’une diffusion au cinéma, par exemple, et pourquoi pas après le biopic. Quelques séances nous suffiraient, avec une remastérisation digne de ce nom, bien que la partie audio pourrait demander un travail mené en profondeur.

Une fois les premières images inédites et de qualité passées et au fur et à mesure que l’on avance dans ce documentaire, on s’aperçoit malheureusement que non seulement des témoignages commencent à manquer mais que des artistes et des personnes très importantes dans ce projet sont soit oubliés soir trop peu évoqués. Nous rentrons malheureusement dans le détail de tout ce qui ne va pas et le manque est cruel.

Si l’album Thriller est l’œuvre de Michael Jackson, trois autres personnes sont incontournables dans sa réalisation et donc sa réussite: Quincy Jones, Bruce Swedien et Rod Temperton. Le premier est encore vivant et on n’imagine pas un documentaire officiel sur l’album Thriller sans son témoignage, tant il est légitime. On attend Quincy Jones en tant qu’intervenant ou interviewé à cette occasion et malheureusement il n’apparait pas. Alors certes, on le voit à travers des images d’archives mais trop peu via d’anciens commentaires. C’est un manque, incontestablement.

De son côté, Bruce Swedien, l’ingénieur du son de tous les albums de Michael Jackson et de Thriller en particulier, est extrêmement peu évoqué. Malheureusement décédé, son témoignage pendant le tournage n’était pas possible. Il n’en demeure pas moins que de nombreuses images et déclarations de sa part existent et pas des moindres. Il suffit de se référencer sur le travail de Marcos Cabotá avec « Sonic Fantasy » et auparavant celui de Gareth Maynard pour « King Of Sound » que l’on avait découvert lors du MJ Music Day de Lille en 2017, pour s’en apercevoir. Les anecdotes de Bruce Swedien sur l’enregistrement de cet album sont nombreuses, incontournables, délicieuses et pourtant absentes. Là aussi un très grand regret pour l’histoire mais également pour la reconnaissance qui lui est due.

Enfin pour Rod Temperton, c’est à peine si on voit quelques images et s’il est évoqué, lui qui est pourtant l’auteur de Baby Be Mine, de The Lady In My Life et de Thriller (anciennement Starlight). Auteur également de la chanson de la même période Got The Hots, mais aussi de la musique de Someone In The Dark. Sans oublier Rock With You, Off The Wall et Burn This Disco Out pour l’album Off The Wall.

Mais ce n’est pas tout. Si Quincy Jones, Bruce Swedien et Rod Temperton ne sont pas évoqués comme il se doit, il en est de même pour tout un tas d’autres artistes, des musiciens en particulier et là aussi, pas des moindres. Lorsqu’on évoque les cuivres de Wanna Be Startin’ Somethin’, rien sur Jerry Hey, Gary Grant, Larry Williams et Bill Reichenbach que l’on retrouve sur d’autres chansons de Thriller et sur d’autres albums de Michael Jackson.

Lorsque la célèbre batterie de Billie Jean est évoquée, rien sur N’dugu Chancler, lui aussi présent sur d’autres chansons de Thriller et sur d’autres albums du Roi de la Pop. La basse envoutante de Louis Johnson, on croit rêver, le gigantesque bassiste n’est pas évoqué non plus ! Dans notre tête sonne une alarme identique au son d’un bug informatique. Non mais ils sont sérieux là ? Bref vous l’aurez compris, il manque trop d’artistes, trop peu de références à la limite de l’irrespect et trop peu de leurs témoignages indispensables.

La présence d’artistes comme Mary J.Blige, Usher, Mark Ronson et d’autres encore, ne nous dérange absolument pas lorsqu’ils sont choisis de par leur notoriété et afin d’apporter une crédibilité et une histoire à la narration. Mais c’est l’absence des artistes ayant fait partie de l’histoire qui nous pose problème. Ils manquent cruellement. Une absence physique pour les personnes encore vivantes et une absence d’images et d’évocations pour les disparus. Nous n’en avons évoqué ici que quelques uns mais la liste est encore très très longue.

A cela, il faudrait aussi rajouter la liste des danseurs et des chorégraphes absents ou trop peu évoqués, Vincent Paterson et Michael Peters en particulier. L’absence de toutes ces personnes est véritablement le point noir de ce documentaire pourtant riche en images inédites.

Et le comble, pour les non anglophones qui regardent ce documentaire sous-titré, c’est que les sous-titres apparaissent sur les noms du peu d’artistes présents. Comme un hasard qui soulignerait une absurdité.

Enfin pour finir, car il y aurait tant à dire encore, que dire de la fin du documentaire ? Comme une apothéose ou le bouquet d’un feu d’artifice, on ne sait trop qui, a décidé après le passage sur la chanson et le court-métrage de Thriller, de mettre en avant, comme une forme d’autosatisfaction pour l’Estate, This Is It et les spectacles dont il est inutile ici d’en préciser les titres.

On ne sait pas qui a décidé de faire cela mais nous aimerions leur préciser qu’à la fin de la chanson et donc du clip de Thriller qui clos ce documentaire, on entend le rire d’un certain Vincent Price. Un rire qui à lui seul et sans aucune autre musique, est capable de faire dire les mots « Thriller » et « Michael Jackson » à n’importe qui sur cette terre. Est-il imaginable que l’on parle d’un album comme Thriller, d’une chanson comme Thriller, d’une vidéo comme Thriller et que l’on n’évoque pas Vincent Price ? Et toutes les anecdotes qui vont avec ?

Au lieu de cela, This Is It et les spectacles… Ils auraient pourtant pu, après avoir parlé de Vincent Price, montrer des images de la suite de Thriller avec l’extraordinaire chanson caritative We Are The World, Captain Eo, l’album Bad, le Bad Tour et tant d’autres choses encore, mais non, leur choix s’est porté sur ce que vous avez vu.

Par contre, pour en revenir aux qualités de ce documentaire, nous ne savons pas si cela a été fait exprès mais nous avons remarqué quelque chose de très intéressant et qui passe pourtant inaperçu. Inaperçu pour le grand public mais peut-être également pour certains fans.

On vous explique. Si comme nous, vous avez l’œil du lynx et l’oreille affûtée, vous avez pu remarquer pendant l’évocation de la chanson « The Girl Is Mine » et les images d’archives diffusées avec, qu’à un moment donné, Michael Jackson chante tout autre chose que le duo avec Paul McCartney. Pour vous situer, cela se passe après que le réalisateur du documentaire Neslon George dit ceci: « Après « Off The Wall », la question était de savoir si Michael Jackson était une star de la Pop ou seulement un artiste R’n’B« . On voit alors Michael Jackson chanter avec enthousiasme « Yeah Yeah, Yeah Yeah… » en studio.

Mais que peut-il bien chanter ? Nous sommes nous alors demandé. Et bien il s’agit de la chanson « I Was Made To Love Her » de Stevie Wonder que l’on retrouve également interprétée par les Jackson 5 sur l’album Boogie et sur l’Anthology de 1976 ainsi que sur l’album Looking Back To Yesterday de Michael Jackson sorti par la Motown en 1986 (et bien d’autres compilations des J5). Un grand merci à Labeste de notre forum de discussion pour avoir mené l’enquête et trouvé le titre. Une aide précieuse se trouve également dans une interview de David Paich du groupe Toto (présent sur l’album et également oublié du documentaire) que l’on pouvait trouver dans le magazine Vibrations de 2009 et évoqué en 2012 sur le forum Michael Jackson’s HideOut (Merci bluesaway et SmoothMel44) ainsi que par Brice Najar dans son livre « Michael Jackson: Itinéraire d’un passionné » et dans lequel on pouvait lire ses souvenirs à ce sujet :

David Paich : L’enregistrement de « The Girl Is Mine » a été un moment mémorable. J’avais Jeff Porcaro, Greg Phillinganes, Louis Johnson à la basse, Steve Lukather à la guitare et moi-même. Michael était là, mais il y avait aussi George Martin et Geoff Emerich, qui étaient respectivement le producteur des Beatles et leur ingénieur du son. Je n’oublierai jamais quand Paul McCartney est entré dans la pièce avec deux anciens agents du FBI le menant comme escorte.

Et soudain, dans mon champ de vision, j’ai eu Linda McCartney, Paul McCartney, Michael Jackson, George Martin et Quincy Jones ; une salle pleine de légendes. Et le souvenir artistique le plus marquant que j’ai de Michael remonte à cette séance d’enregistrement. Les musiciens, pour se préparer, font une « jam session » ; nous laissions sortir toutes sortes de sons de nos instruments et cette session a été réalisée avec Paul MacCartney.

Et à un moment donné, tout le monde s’est mis à jouer… Ce n’était pas « Signed, Sealed, Delivered, I’m Yours ». C’était « I Was Made To Love Her » de Stevie Wonder. On avait commencé à jouer la chanson dans le studio et Paul et Michael ont commencé à chanter et à improviser un duo là-dessus. Et Michael a tout déchiré, il a tout tué, c’était extraordinaire. De toute ma vie, je n’ai jamais entendu quelqu’un chanter avec autant de passion et d’émotion comme Michael l’a fait ce jour-là. S’ils avaient eu un concours, Michael aurait battu McCartney haut la main parce qu’il connaissait la chanson sur le bout des doigts. Et ce moment a été enregistré, ce n’était pas intentionnel car nous nous échauffions, mais il a été enregistré.

Et oui, enregistré et dont nous avons eu des millisecondes d’images sur ce documentaire Thriller 40. Ni l’Estate, ni Nelson George, ne doivent savoir à quel point les fans auraient aimé entendre cette « jam session » en entier. Car il faut être fan pour savoir que Michael Jackson a encore de très belles choses à nous faire découvrir.

Il faut être fan…

Si vous voulez avoir d’autres avis de fans concernant ce documentaire, vous pouvez en retrouver quelques uns sur You Tube:

Le documentaire Thriller 40 sera disponible sur Paramount+ pour plus de 6 mois au moins. De quoi le revoir un certain nombre de fois.

Moins d’une minute avant de prendre la photo qui est devenue la couverture de l’album « Thriller », le célèbre photographe Dick Zimmerman prenait la photo ci-après qui sera mise en vente aux enchères le 9 décembre 2023 en Floride par l’intermédiaire de la maison de ventes Blackwell Auctions. En tout, 5 photos de la séance « Thriller » du 22 juillet 1982 seront en vente.

Les photos de type Polaroid qui ont été prises par Dick Zimmerman sont toutes accompagnées d’une lettre d’authenticité du photographe, ainsi que d’une décharge de tous les droits d’auteur. Attention, bien que l’image soit protégée par le droit d’auteur, des droits de la personnalité peuvent s’appliquer.

La photo ci-après aurait pu figurer sur l’album « Thriller » puisque ce plan a été envisagé par Michael Jackson et Quincy Jones.

La photo ci-après aurait pu également figurer sur l’album « Thriller » puisque ce plan a été également envisagé par Michael Jackson et Quincy Jones.

La photo ci-après aurait pu également figurer sur l’album « Thriller » puisque ce plan a été également envisagé par Michael Jackson et Quincy Jones.

La photo ci-après aurait pu également figurer sur l’album « Thriller » puisque ce plan a été également envisagé par Michael Jackson et Quincy Jones.

A noter qu’une autre pièce historique est en vente aux enchères. Il s’agit ni plus ni moins que de l’appareil photo de Dick Zimmerman qui a pris les images emblématiques de l’album « Thriller ». Il s’agit d’un Hasselblad 500 ELX et c’est le seul appareil photo présent dans le studio ce jour là. Cet appareil fut également utilisé pour prendre des photos lors de la collaboration de Michael Jackson et Steven Spielberg sur l’album E.T Sorybook ainsi que lors du mariage du Roi de la Pop avec Lisa Marie Presley. Ci-après, la lettre d’authenticité accompagnant l’appareil (qui ne fonctionne plus).

Vous pouvez accéder à cette vente aux enchères ici. Selon les photos, les estimations vont de 4000 à 20 000 dollars. L’appareil photo est estimé entre 10 000 et 20 000 dollars.

Date: Samedi 9 décembre, 17h00 GMT, 5251 110th Ave. N Suite 118, Clearwater, Floride 33760, États-Unis. La galerie est ouverte en avant-première le vendredi 8 décembre de 10h à 17h ainsi que le jour de la vente aux enchères à 11h.

Vous pouvez accéder au catalogue de présentation ici.

Sources: Blackwell Auctions / MJVIBE / MJFrance.

Si nous vous parlons régulièrement du documentaire « Sonic Fantasy » de Marcos Cabotá, nous avons déjà évoqué par le passé le court métrage de Joan Bover intitulé « Dear Michael » qui y est lié. En effet, celui-ci se base sur une lettre écrite par Marcos Cabotá une décennie après la mort de Michael Jackson.

Ce film de de 14 minutes réalisé avec des techniques de stop motion, a déjà reçu de nombreux prix et sera à nouveau en compétition en février 2024 lors de la remise des Prix Goya qui récompense le meilleur du cinéma espagnol ou il est nommé dans la catégorie « Meilleur court métrage documentaire ».

A noter que de son côté, « Sonic Fantasy » est nommé dans 9 catégories: Meilleur film, Meilleure cinématographie, Meilleur film documentaire, Meilleure direction, Meilleur montage, Meilleur scénario original, Meilleur maquillage et coiffure, Meilleure musique originale* et meilleur son.

Vous pouvez actuellement voir le court métrage « Dear Michael » sur Vimeo ou ci-après. En voici sa présentation :

Dix ans après la mort de Michael Jackson, le cinéaste Marcos Cabotá décide de lui écrire une lettre avec tout ce qu’il n’a pas pu lui dire de son vivant. Cabotá est fan de Michael Jackson depuis son enfance et est l’un des rares privilégiés à le connaître personnellement. Dear Michael est une réflexion sur l’une des plus grandes figures que la musique ait jamais produites, d’un point de vue intime et personnel.

* La musique originale de « Sonic Fantasy » fait l’objet d’une diffusion sur Spotify.

Le site Gotta Have Rock and Roll connu par le passé pour plusieurs ventes aux enchères concernant Michael Jackson propose une nouvelle vente en lien avec le Roi de la Pop où l’on compte parmi plusieurs lots, 25 bandes masters annoncées comme contenant soit des titres inédits de Michael Jackson enregistrés pendant la période HIStory au célèbre studio « The Hit Factory » soit des sons et autres effets sonores.

Vous pouvez avoir accès à cette vente aux enchères ici sachant que ces bandes masters sont vendues uniquement comme un artefact sans droit d’auteur et que la reproduction est strictement interdite.

Les titres figurant sur ces bandes masters sont :

  • New Jelly
  • Like U
  • Rescue Me
  • What Do You Want From Me
  • Diana Ross
  • Like You
  • Tears Of Stone
  • Haven’t Got A Lot
  • Starlight
  • Lost In Love
  • How You Like Your Love
  • Circles
  • D.N.A
  • Doing What My Heart
  • Doing What Your Heart Says
  • Thinking About You
  • Give All Your Love
  • Take Your Time
  • Only You
  • Ain’t No Doubt About It
  • You’ll Know
  • Best is Yet
  • Oh Love
  • Sexy Love
  • U Know

En attendant une réaction de l’Estate, cette vente aux enchères dévoile non seulement plusieurs titres inédits de Michael Jackson mais confirme une fois de plus qu’il doit en rester encore un grand nombre caché quelque part.

Merci SmoothMel44 du Forum MJFrance pour l’info.

Depuis plus de 20 ans, Brice Depasse fait partie du quotidien des Belges et des Français du nord grâce à sa « Story » qu’il présente quotidiennement sur Nostalgie, première station de radio en Belgique.

Devenu le plus populaire des raconteurs d’histoires sur les ondes radios belges, Brice Depasse est l’auteur du livre « Nos années 80: Petites histoires des stars d’une grande décennie » paru chez Chronica et disponible également dans vos librairies habituelles et chez Amazon.fr.

En 1980, l’auteur avait 18 ans et vous transporte ainsi dans ces années considérées, dorénavant, comme une période bénie.

Si nous vous en parlons aujourd’hui, c’est parce que Michael Jackson fait naturellement partie de ces stars d’une grande décennie et son nom figure en page de couverture du livre.

Mieux encore, nous pouvons également vous dire qu’un passage du livre revient sur la genèse de l’album le plus vendu au monde et sur la rencontre entre Quincy Jones et Michael Jackson. Les fans aimeront très certainement revivre ce passage avec le style inimitable de Brice Depasse. Mais ils aimeront aussi découvrir des tas de belles histoires liées à Queen, Prince, Madonna et bien d’autres…

A noter que la couverture du livre est différente pour la Belgique avec la présence d’une photo de Brice Depasse, bien plus connu là-bas qu’en France.

Encore une bonne idée de cadeau de Noël à offrir ou à s’offrir.

Le site de Vogue.fr vient de faire une sélection de beaux livres de Noël parmi lesquels figure celui du célèbre photographe Oscar Abolafia. Intitulé « icons by Oscar » et sur 304 pages, il propose des photographies de plus de 150 célébrités parmi lesquelles figurent Michael Jackson.

Né en 1935, Oscar Abolafia se spécialisa dans le photojournalisme des années 60 et 70 et ses photographies firent la une de magazines comme People Magazine, Vanity Fair et bien d’autres. Il couvrit notamment l’actualité de Michael Jackson lors de la promotion du film The Wiz ou encore pendant sa fréquentation de la célèbre discothèque Studio 54 (photo ci-après provenant du livre).

En attendant de le trouver ailleurs, ce livre est disponible chez Moda Operandi au prix de 145$ ou chez Gigi New York au prix de 126,25€.

Sources: Vogue.fr

Un petit coffret de trois CDs intitulé « The Best Disco Party Album In The World… Ever! » sortira en Angleterre le 10 novembre prochain et contiendra la chanson « Dancing Machine » des Jackson 5 . Distribué par le label Spectrum Music, une division d’Universal Music en collaboration avec Sony Music, ce triple album CD est composé de 65 chansons du meilleur de la Disco.

En vente chez Amazon Angleterre et référencé sur Amazon France où vous pourrez voir la liste complète des chansons .