Mercredi 16 Mars, la défense de Michael Jackson a souligné l’importance de l’information au sujet des empreintes digitales trouvées sur un magazine et utilisé par l’accusation comme une preuve de la culpabilité de Michael.
La défense a souligné que ces empreintes avaient pu être obtenues devant le Grand Jury et non pendant la période ou l’accusateur a formulé ses plaintes.
Selon Jennifer London de MSNBC, la défense a montré au tribunal que le magazine n’avait pas fait l’objet de prises d’empreintes jusqu’à l’été 2004 mais uniquement après que le Grand Jury ait porté l’acte d’accusation. Jennifer London : « …cependant, lors du contre-interrogatoire d’aujourd’hui, un des détectives a indiqué que des empreintes digitales de l’accusateur n’avaient pas été prises d’un des magazines avant le déroulement du Grand Jury. La signification : la défense revendique le fait que les empreintes digitales du jeune accusateur existent parce qu’il a touché le magazine pendant le témoignage devant le Grand Jury.«
Source : MJEOL