Le Dr Paul White a déclaré vendredi aux jurés que la quantité de Propofol que le Dr Murray a dit avoir donné à Michael Jackson le jour de sa mort était suffisante pour réduire l’anxiété et provoquer un léger sommeil. Il a défié les conclusions du Dr Shafer qui disent que Murray avait donné à Jackson au moins neuf injections de 4 mg de Lorazepam le matin du 25 juin, disant que ces quantités sont « énormes » et auraient endormi n’importe qui, ou les auraient mêmes tuées.
Le Dr White a dit que le scénario le plus raisonnable serait que Michael Jackson a pris 8 pilules de Lorazepam – deux ou trois à la fois – pendant la nuit. Il a expliqué la raison pour laquelle il n’y avait que des traces de Lorazepam dans l’estomac de Jackson, et cette raison serait qu’il a été absorbé rapidement par le système digestif. Si le Lorazepam avait été pris par IV, comme l’a dit Shafer, aucune trace de Lorazepam n’aurait été retrouvée dans l’estomac de Michael Jackson.
A l’instar de ce qui a été fait par l’accusation, White a fait sa propre démonstration de Propofol, montrant que non seulement il était facile, mais aussi « parfaitement sûr », d’administrer du Propofol par injection. Il a indiqué que si Murray avait utilisé une poche à IV pour administrer le Propofol, il y aurait eu des traces du produits sur les poches retrouvées sur place, or il n’y en avait pas. White a dit qu’à son avis Jackson s’est lui-même donné une dose de Propofol vers 11h30, et que c’est ça, combiné au Lorazepam et aux 25 mg que Murray lui a donné plus tôt, qui l’a tué.
Source : TMZ.com – Traduction PYC