L’information circulait depuis quelques jours et vient d’être confirmée par le tabloid Daily Mirror : Michael Jackson est à Londres.
Faisant la UNE de ce magazine à scandale, le titre évocateur Quand le Mirror rencontre Jacko ne précise pas si la rédactrice Fiona Cummins a pu avoir quelques mots du King Of Pop en s’annonçant officiellement comme travaillant pour le journal ou en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Voici pour vous la traduction de cette « rencontre » :
J’ai rencontré Michael Jackson hier dans les bureaux du magasin londonien Harrod’s, qui appartient à son ami Mohammed Al Fayed.
Il est arrivé à 13h05 sans tralala, sans gardes du corps ni assistants et quasiment sans maquillage. Comme c’était la première fois qu’il parlait à un journaliste depuis son procès, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais Michael, qui était de très bonne humeur, m’a accueillie comme une vieille amie. Il m’a serré fermement la main d’un grand sourire puis, à mon grand étonnement, m’a enlacée, et j’ai pu remarquer qu’il sentait agréablement bon. Il n’avait plus rien de l’homme émacié et courbé de 40kg que l’on a pu voir pendant le procès.
Il m’avait l’air détendu et parlait volontiers de ses projets, ceux de reconstruire sa carrière et de créer un nouveau Neverland en Angleterre. « Je suis à Londres pour affaires pour quelques jours. J’adore être ici. Je recherche un endroit où habiter. J’ai toujours adoré le Royaume-Uni et j’adore les fans ici. »
« Et puis je viens voir mon ami Mohammed, il est vraiment super », ajoutait-il en souriant.
Jackson doit assister à une série de rendez-vous d’affaires en Angleterre et ira visiter des maisons de luxe dans la capitale et sa banlieue. Il compte également aller visiter certains endroits en Ecosse et en Irlande, où il souhaiterait recréer le ranch californien où il se sentait chez lui autrefois.
Je lui ai demandé comment il allait: « Je vais très bien, merci. Je me sens bien. » Il a ajouté qu’il était en train de travailler sur un nouvel album – son premier depuis ‘Invincible’ en 2001.
Enfin, il m’a saluée d’une légère tape dans le dos et il est parti.
Comme j’allais prendre le métro pour rentrer au bureau et qu’il se dirigeait vers sa limousine, j’arrivais encore à sentir son parfum sur ma main.
Il se pourrait que je vienne d’assister à son tout premier essai à sortir de l’ombre.