Catégorie : L’actualité

Vous connaissez certainement les figurines Funko de Michael Jackson. Nous vous présentions trois d’entre elles (il en existe 5) dans notre info du 1er janvier 2012. Et bien sachez que trois nouvelles figurines devraient voir le jour au mois d’Octobre 2013 et dans dans la même série.

Ces trois nouvelles figurines se concentreront sur la période Thriller, certainement afin de coincider avec Halloween.

Voici pour vous ces figurines (coming soon), en image.

Sources: tomopop.com / popvinyls.com / mjhideout.com

MJFrance vous a parlé régulièrement de la troupe Deepinside et de leur spectacle de grande qualité. Cette troupe s’adresse aujourd’hui à vous en prévision d’une tournée française avec un passage par Paris à partir du mois de Novembre 2013 et une tournée dans toute la France en Septembre 2014.

Voici pour vous le communiqué présent sur la page facebook de la troupe et un teaser en fin de page:

Chers Artistes,

Si vous souhaitez postuler à l’annonce du casting du spectacle hommage à Michael Jackson « King of Pop / The TRIBUTE »

Vous trouverez dans ce message toutes les informations dont vous avez besoin concernant le projet et le recrutement.

LE PROJET

Spectacle musical déjà finalisé, réunissant 10 danseurs dont 4 chanteuses, et 4 musiciens. Ce show d’une durée d’une heure quarante minutes met en avant l’énergie explosive et la musicalité infime de l’œuvre immense de l’artiste. Interaction entre le chant, la danse, la musique, la vidéo et la pyrotechnie.
Nous mettons l’accent sur les caractéristiques essentielles de l’artiste selon une énergie et une interprétation fidèle à nos convictions.

La production travaille actuellement pour la mise en place du spectacle de façon permanente sur Paris d’une durée indéterminée (à partir de novembre 2013 jusqu’en fin janvier 2014 voir plus) et en vue de la préparation d’une tournée nationale en septembre 2014. Les dates de la tournée sont en cours de programmation.

IMPORTANT : Les candidats ayant été retenus devront effectuer les répétitions à Salon de Provence (13) à partir du 1er aout 2013 pour une durée de 3 semaines.
C’est une formation gratuite et accélérée afin d’apprendre les chorégraphies et/ou les chansons du show et de les interpréter avec l’énergie adéquat.
Cependant une fois sur Paris, les répétitions générales seront rémunérées la moitié du cachet :
Cachet par dates déclarées : 140€ net (intermittent)
Répétitions : 70€ net

Pendant la durée de la formation, l’hébergement devra être prévu et organisé par vos soins. Dès le début des répétitions sur Paris, vous serez totalement pris en charge.

LE CASTING

– Concernant les chanteurs, vous serez évalués à cappella sur une interprétation de la chanson « don’t stop till you get enough » de Michael Jackson et un extrait d’une chanson de votre choix (1mn). Les CD et clés USB sont acceptés (penser à vérifier la lisibilité de votre CD).

– Concernant les danseurs, vous serez évalués sur une chorégraphie de Michael Jackson ainsi que sur une routine dans le style de danse de votre choix (30s).
Les CD et clés USB sont acceptés (penser à vérifier la lisibilité de votre CD).

Ces évaluations seront suivies d’un entretien avec la direction artistique.

Dates des prochains casting :
– Jeudi 04 avril 2013 à 11h (date limite dépassée)
– Mardi 09 avril 2013 à 11h (date limite dépassée)
– Samedi 04 mai 2013 à 14h (date limite 27 avril 2013)
– Lundi 13 mai 2013 à 11h (date limite 05 mai 2013)

LIEU : Ecole de danse Eric MENGOME, 72 rue du Docteur Mourret 13300 Salon de Provence (prévoir des chaussures ou chaussons utilisés uniquement en salle)

Afin de valider et enregistrer votre candidature, les personnes désirant se présenter au casting sont priées de me le confirmer par retour à ce message en précisant la date du casting concerné ainsi que leurs coordonnées.

Nom :
Prénom :
Age :
Casting chanteur(se) et/ou Casting danseur(se)
Date du casting :
Ville de résidence :
Tel :

Aucune inscription ne sera validée sans retour de votre part.

Pour tout complément d’information veuillez contacter le tel : 06.03.16.49.50

merci de l’intérêt que vous nous portez

Bien cordialement

La direction artistique

Dans une interview de Paris Jackson accordée au magazine Event, la fille de Michael Jackson a parlé de son enfance aux cotés du Roi de la Pop et de son vœu de restaurer Neverland. Quelques extraits de cette interview ont été dévoilés par le site de dailymail.co.uk

« Il était un père incroyable… Il voulait que nous ayons ce qu’il n’avait pas eu, une enfance normale… Il voulait le meilleur pour nous… J’ai beaucoup de souvenirs de mon père… Nous l’aimions tous à mort… » a déclaré Paris Jackson en précisant qu’elle voudrait qu’une partie des milliards dollars de l’héritage de son père soit utilisée pour restaurer sa propriété de Neverland pour que les enfants malades puissent en profiter.

L’écolière a parlé des moments de bonheur partagés au ranch avec son père décédé quand elle avait seulement 11 ans. Elle a fait un émouvant pèlerinage dans la maison de son enfance il y a deux ans et a été consternée de voir que sa célèbre grande roue avait été enlevée.

« J’ai pleuré et pleuré » dit Paris. « C’est beau là-bas. Il y a encore une bonne énergie. »

Elle a dit que le ranch devrait être restauré pour le bénéfice des enfants moins privilégiés. Paris a dit qu’elle prévoit de lancer le projet dès qu’elle sera elle-même une adulte.

Sources: MJBackstage / Dailymail

Le 26 mars dernier, les organisateurs de l’exposition de Londres « A King Through The Lens MAKING HISTORY Exhibition » vous donnaient la possibilité de gagner deux places VIP pour le vendredi 10 mai 2013.
A la question de savoir quelle était la pochette de single de Michael Jackson qui avait été réalisée par Christophe Boulmé, il fallait répondre naturellement « Stranger In Moscow« .
Les deux gagnantes de ces places VIP sont Audrey Thimpont et Nathalie Martinez-Raposo. Elles recevront prochainement leurs invitations de la part des organisateurs.

Cela fait maintenant plusieurs années que nous vous présentons les vidéos de Chantalou et ce pour le plus grand plaisir des fans de Michael Jackson.

Voici aujourd’hui sa toute dernière réalisation sur « Dangerous ». A noter qu’Olivier s’est particulièrement investi sur cette vidéo puiqu’il a remixé lui même la chanson. Découvrez sans attendre cette avalanche d’images et ce grand hommage au Roi de la Pop.

En 1992, Michael Jordan, un des plus grands athlètes de la planète, a collaboré avec Michael Jackson, le plus grand artiste de la planète, pour réaliser le clip « Jam ».

21 ans plus tard, ESPN Playbook a recueilli en exclusivité les témoignages inédits de David Kellogg, le réalisateur et Phil Rose, le producteur de « Jam » sur ce qui s’est passé derrière la scène. A ce jour, ils travaillent toujours ensemble sur des projets publicitaires. Ils partagent leurs souvenirs encore très présents à leur esprit de ce tournage qui les a marqué à vie.

Ils ont vécu l’HIStoire, ils la racontent :

L’ORGANISATION

Kellog : Michael Jackson s’est placé derrière Jordan. On a su tout de suite qu’il allait s’impliquer. Je pense que Jackson a d’abord parlé à Jordan. Jordan avait plus de mal à s’y mettre. Michael s’est mis tout de suite dans sa musique. Il a démarré au quart de tour. On a tourné à Chicago uniquement parce que Jordan avait d’autres engagements dans cette ville à ce moment-là.

Rose : A l’origine c’était Travis Payne, le chorégraphe de Michael, qui devait diriger « Jam » mais Michael préparait en même temps une tournée mondiale avec Payne qui était très occupé. C’est alors que David est entré dans le jeu. En sortant de l’aéroport, on se demandait ce qu’on allait faire à Chicago. « Jam » était notre premier projet commun. Moi, j’en avais réalisés d’autres pour Michael. J’avais écrit une chanson « 2300 Jackson Street » pour la famille Jackson. J’en ai écrit une autre en Allemagne avec Michael et Slash après « Jam ».

Kellog : C’était ma première vidéo avec Michael Jackson. A cette époque, j’avais travaillé pour Lionel Richie, Dave Matthews, pas mal avec Quincy Jones, David Crosby.

Rose : Quand le scénario de « Jam » a été bouclé, ils m’ont recruté pour que je programme et fixe le budget.. On a réfléchi à la totalité de l’organisation et où nous allions tourner. A l’origine, cela devait se faire à L.A., dans une salle de concerts. Le budget d’un million de dollars était assez confortable pour l’époque même s’il était tout de même moins élevé que les autres budgets dont Michael disposait habituellement. Dès qu’on est arrivé, on a dû bosser dur pour trouver ce qu’on cherchait. On n’avait encore fait aucun repérage. On est arrivé un jeudi et on devait commencer le tournage le jeudi suivant. C’était court pour trouver un endroit, le sécuriser et, bien sûr, installer le terrain de basket, recruter quelques figurants. C’était un véritable « run and gun ».

On est allé voir tout ce qui était disponible dans la ville. Il y avait un endroit fermé où les Bulls jouaient à ce moment-là au Sud de Chicago. C’était assez pauvre. Il n’y avait pas beaucoup d’entrepôts au toit suffisamment haut pour notre tournage. Et puis, on est entré dans cette vieille fabrique d’armes délabrée. On a regardé partout, c’était parfait : un énorme espace ouvert avec un énorme dépôt d’ordures. Le production Designer, Rob Pearson, a fait aménager un court de basket. C’était surréaliste de voir ce superbe terrain de basket dans un immeuble complètement délabré.

Kellogg : En fait, on n’avait aucune limite financière. Tout ce qu’on voulait, on l’avait. C’est énorme ce qu’on a fait car c’était un entrepôt désaffecté, dans un environnement pas très reluisant et c’était très sale. Je ne sais pas ce qu’il se passait habituellement là, mais c’était un vrai bordel.

Rose : J’ai dû rendre visite à la police locale et tout ce qui s’en suit sans jamais révéler qui serait dans la vidéo. On a dit qu’on faisait une pub pour la mayonnaise Hellmann de façon à ne pas attirer l’attention. Tous nos documents et listes des intervenants mentionnaient la pub pour la mayonnaise. Pour d’autres films publicitaires, on reste discrets mais pas à ce point.

L’ARRIVEE DES DEUX MICHAEL

Rose : Quand Michael Jackson est arrivé sur le site, une tente a aussitôt été montée entre son bus et le bâtiment. Le chemin d’accès était caché et personne ne pouvait voir Michael. Le chef de la police s’est exclamé : « je ne comprends pas pourquoi vous ne m’avez pas dit que c’était Michael Jackson. C’est fou. Il faut faire venir plus de policiers, il peut y avoir une émeute. » Alors, je lui ai dit : « OK, je suis désolé, vraiment désolé. » Michael était très réservée au début.

Michael était déjà là depuis environ deux heures quand Michael Jordan est arrivé dans sa BMW jusqu’à l’entrepôt. Il s’est garé, est sorti de sa voiture. Le chef de la police m’a regardé éberlué : « Vous vous foutez de moi ? » Il riait. J’ai répondu : « oui, c’est vraiment Michael Jordan et Michael Jackson ensemble. » « Mon Dieu ! » s’est-il exclamé en renforçant la sécurité. Je pense qu’il y avait plus de sécurité autour de Michael Jordan que pour Michael Jackson.

LE TOURNAGE

Kellogg : Je savais que ces types étaient des hommes exceptionnels physiquement. Nous savions qu’ils feraient l’un et l’autre un « cross over » dans le monde de l’autre… En général, dès que la musique démarre, les artistes commencent à faire quelque chose. Tout au début, Michael Jordan a montré à Michael Jackson comment jouer au basket et Michael Jackson a montré à Michael Jordan comment danser. Il n’y avait pas de script. On se contentait de diffuser « Jam » et de leur lancer le ballon. On les a laissé jouer et on a attendu pour voir ce qui allait arriver. A un moment, on a dit à Michael Jackson : «bon, montre-lui le moonwalk.» On diffusait la musique à ce moment-là, alors on n’a rien enregistré.

Rose : C’était très naturel. Je veux dire qu’il y avait beaucoup d’improvisation. Impossible autrement quand vous travaillez avec deux personnes qui ont des emplois du temps aussi chargés…. Jordan était un danseur un peu balourd et les sauts de Michael étaient probablement très maladroits. Notre but était seulement de saisir des moments et d’exploiter nos rushs. C’était plus un documentaire qu’un film. Chaque minute du tournage était irréel. Parfois quand on travaille, David et moi on plaisante : «Quand tu filmes une cascade ou une explosion, » je dis toujours à David : «regarde vraiment la scène, tu auras toujours le temps de te la rediffuser après.» Quand on travaille avec deux stars comme çà, chaque minute est importante. On était tout simplement admiratifs.

Kellog : Michael Jackson et son équipe se préoccupaient beaucoup de l’éclairage. Rien de secret et pas de règle quand les deux Michael étaient ensemble. C’était seulement quand Michael Jackson dansait que son équipe apportait beaucoup de soin à la lumière. Michael ne voulait pas de lumière projetée sur le côté du visage. J’imagine que Michel trouvait son visage anguleux et n’aimait pas l’ombre que çà faisait sur l’autre côté du visage. Il préférait un éclairage plutôt doux, de face, sur toute sa personne ou sur son visage. Derrière la caméra, on aurait dit un simple mur de lumière. C’était comme un éclairage qu’on utilise pour mettre en valeur un maquillage dans une publicité. Michael était très sensible à çà. Il tenait à ce que tout soit éclairé sur la scène avant d’apparaître dans le champ. C’est l’époque où il portait beaucoup ce type de masque chirurgical. Je le trouvais superbe mais il avait une mauvaise image à cause de çà.

Rose : Ce qui a augmenté un peu le coût de la video, c’est qu’on devait allumer les projecteurs à chaque prise. Autrement dit, habituellement sur le plateau d’un film, si vous filmez une scène dans une pièce, vous filmez un acteur et c’est fini. Pour le suivant, vous redonnez la lumière. Mais là, comme on n’avait pas beaucoup de temps avec les deux Michaels, nous avions installé partout dans l’entrepôt tous les projecteurs dont nous aurions besoin. C’est ce qui a augmenté le budget.

Kellog : Comme on avait annoncé une publicité pour une mayonnaise, personne ne nous a embêtés. Certains se demandaient tout de même ce qui se passait. Parfois, des grosses voitures ou des motor homes stationnaient devant l’entrepôt. Michael Jackson était vraiment sympa. Il y avait une foule dehors et il allait à la fenêtre régulièrement pour dire hello. Je pense que les gens étaient honnêtement un peu plus excités par la présence de Michael Jordan, probablement parce que c’était la ville où il habitait.

Rose : Il n’y avait pas de presse sauf NBA Entertainment parce qu’on avait très bien étouffé le contenu véritable de la vidéo. La police était furieuse de n’avoir rien su à l’avance. Je pense qu’on avait fait le bon choix. Vers la fin, il commençait à y avoir beaucoup de monde dehors. Heureusement, c’était notre dernier jour de tournage. On s’est arrangé pour ne pas trop nous faire remarquer.

LES PERSONNALITES

Kellogg : Tous les deux étaient sympas. Il était facile de travailler avec eux. Je pense qu’ils s’appréciaient vraiment l’un l’autre, çà se voyait. Michael Jordan s’est particulièrement bien comporté car c’était plus difficile pour lui. Michael Jackson était comme un enfant. Il avait apporté des water balloons, des Super Sakers et des voitures téléguidées. Michael taquinait Jordan et s’amusait à lui tourner autour avec un ballon de basket. Il n’avait pas une bonne position de shoot, même s’il adorait jouer au basket. C’était drôle de les regarder… Ils se déplaçaient de façon totalement différente.

Rose : Quand Jordan entrait en scène, Michael Jackson, tranquille et introverti, retournait dans son trailer. Michael Jordan était lui tout content de rester sur le court et de jouer avec son ballon. Il y avait des enfants qu’on avait fait venir. On ne leur avait pas dit avec qui ils joueraient. Aussi, çà a été pour eux comme un rêve éveillé de voir ce terrain de basket surréaliste au milieu de l’entrepôt. Jordan a été très élégant. Il était vraiment cool, pas distant, chaleureux et sympa.

Kellog : Jordan est resté avec nous trois jours. Un jour, il a su qu’il ne pourrait rester que deux heures. Je me souviens qu’il s’était retourné vers moi en tapotant son poignet comme pour montrer sa montre. Il savait l’heure et il savait que çà risquait de prendre davantage de temps. Il avait déjà fait suffisamment de tournages pour le savoir. Jordan pouvait rester attentif le temps d’une partie. Difficile de le contraindre davantage. On craignait de le voir partir. Parfois, on fait des petites choses pour retenir les célébrités. Là, on avait fait venir un jeu d’arcade afin de le distraire.

Rose : Michael Jackson avait une façon de travailler très particulière. Je m’adressais rarement à lui directement parce qu’il était très secret. Il tenait tellement à se tenir à l’écart que c’était son staff qui servait d’intermédiaire entre nous et lui tout le temps. Exemple : C’était un jour de tournage. Je l’appelle pour lui dire : « Michael, c’est à toi d’entrer en scène » et ses gens ont répondu : « ben, il arrivera beaucoup plus tard. » J’avais répondu : «OK, bien, on peut occuper la matinée à faire autre chose mais quand sera-t-il là, selon vous ?». Ils m’avaient répondu : «Et bien, il sera probablement là dans deux jours. » J’avais répliqué : «Non ! nous sommes à Chicago. Il était là hier. Que s’est-il passé ? » Ils m’ont dit : « Il avait un déjeuner de prévu ». Et j’ai dit alors : « Oh, OK, est-ce qu’il peut l’annuler ? Parce que ce tournage coûte cher !». Ils m’ont alors répondu : «Non, il est avec le Président. (George Bush à l’époque). Je me suis marré. » L’emploi du temps de Michael était loin de ma réalité… On a arrêté tout, juste pour que Michael puisse aller à son déjeuner. Nous sommes retournés à L.A. le temps que Michael revienne à Chicago.

Kellogg : Je me souviens que Michael Jackson était un peu malade. Je ne sais pas s’il avait la grippe ou autre chose. Il était assis dans un coin. On préparait une prise de vue. Il semblait aller mal, pas en forme. Mais dès qu’on a diffusé la musique, il s’est levé. A quelques mètres de là, c’était extraordinaire de le voir. Il était vraiment inspiré. L’équipe et tout le monde devaient penser : «comment peut-il tout d’un coup démarrer comme çà, être plein d’énergie et si précis ? » C’était incroyable. Cela nous donnait des frissons dans le corps.

C’était le milieu de la saison pour Michael Jordan. Fort de mon expérience de tournage de films publicitaires avec des athlètes, on ne l’a pas poussé pour qu’il reste aussi bon le soir.. Je me sentais personnellement responsable.

L’ACCUEIL DU PUBLIC

Kellogg : Avec le recul, c’était une video vraiment particulière. Je pense que les gens ont aimé. Les clips musicaux n’ont plus rien d’extraordinaire maintenant. Ce n’était pas le cas à l’époque. On pouvait vraiment faire des choix créatifs.

Rose : Les gens ont sincèrement aimé parce que c’était avec Michael Jordan, parce qu’il était une grande figure du basket et je ne pense pas qu’il avait fait çà avant. C’est aussi la façon originale qu’a David pour filmer les moments comme ils viennent. C’était vraiment nouveau. Il n’y avait que MTV pour diffuser les films musicaux. Maintenant, on peut aller n’importe où. J’en ai fait des clips, des pubs, des films, films TV ! Je peux dire que c’est avec « Jam » que j’ai eu le plus de liberté pour créer. Et ce n’était pas une question d’argent.

UN REGRET..

Kellogg : Rien à voir avec la réalisation. C’est quand les deux Michael étaient ensemble et qu’on essayait de le montrer dans le film. Pas facile. Je ne savais pas qu’elle était la nature de la relation entre les deux Michael. Peut-être même qu’ils ne s’étaient jamais vus avant. Ils étaient au top de leur carrières tous les deux et je n’y avais pas pensé. Si je devais refaire la vidéo, je crois que j’essaierais de mieux saisir ce moment. C’était le but de « Jam » et j’ai l’impression que je n’ai pas su le capter suffisamment.

Sources: ESPN / MJFC / mjfranceforum / Traduction: 2Bad.