L’Hotel Royal Towers situé aux Bahamas propose une suite portant le nom de Michael Jackson et est facturée 25 000 dollars la nuit. Cette suite s’appelle ainsi car Michael Jackson a été la première personne à y séjourner. Si vous arrivez à économiser cette somme afin de pouvoir dormir dans un lieu ou le Roi de la Pop a séjourné sachez qu’il vous faudra économiser quatre fois plus puisque cette suite n’est louée que pour quatre jours minimum. Quel dommage…

Situé sur l’île de Paradise Island qui se trouve près de Nassau aux Bahamas, ce complexe de six établissements inspiré du mythe de l’Atlantide propose un voyage au coeur de la vie sous-marine avec non seulement de superbes plages mais également un parc aquatique de renommée mondiale avec 11 piscines, des toboggans, des aquariums et bassins dans lesquels évoluent quelques 50 000 animaux que vous pourrez approcher au plus près selon vos envies. Dauphins, requins, raies, poissons tropicaux n’auront plus de secrets pour vous.

Pour la petite histoire, sachez que Michael Jackson fut l’invité de cet établissement les 11 et 12 décembre 1998 pour son inauguration avec quelques 1600 invités parmi lesquels figuraient des personnalités comme Stevie Wonder, James Ingram, Leonardo Dicaprio, Puff Daddy, Greg Phillinganes, Denzel Washington, Donal Trump, Julia Roberts ou encore Oprah Winfrey.

Lors de la soirée du 12 décembre plusieurs stars se succèdent sur la scène comme James Ingram, Natalie Cole ou encore Stephanie Mills. Le présentateur de la soirée pris alors l’initiative de difuser une version instrumentale de « Heal The World » et proposa à Michael Jackson de monter sur la scène. Surpris de cette invitation et un peu obligé, le Roi de la Pop commença alors à chanter alors qu’il n’en avait pourtant pas l’intention. Après ce passage sur la scène, Michael Jackson fut sans cesse dérangé par les photographes et fut obligé de quitter les lieux.

Vous pouvez retrouver le témoignage de Fred Mazé (que l’on salue) et de Guy Fiat présents lors de cette soirée, dans le reportage intitulé « Michael sous les tropiques » figurant dans le magazine Black & White n°28 de Mars – Avril – Mai 1999 qui propose également quelques photos.

Vous pouvez également voir quelques images sur You Tube.

Sources: dailycal.org / Tropicalement Vôtre / Black & White / MJFrance.
Source: MJFrance

Si vous suivez The Voice tous les samedi sur TF1 vous n’êtes donc pas passé à coté de deux candidates que sont Ana Ka et Beeham qui se sont affrontées en battle sur « Set Fire To The Rain », l’un des tubes de la chanteuse britanique Adèle.

Et bien sachez que ces deux chanteuses vous proposent une interprétation en coulisse du titre « Wanna Be Startin’ Somethin' » de Michael Jackson accompagnées seulement par une guitare. Vous pouvez visionner cette prestation ci-après ou sur le site de tf1.fr.

Source: MJFrance

Pretty Young Cat a choisi de vous présenter cette semaine un article de Rob Sheffield publié en 2009 dans le magazine Rolling Stone – Special Commemorative Issue. Nous vous en souhaitons bonne lecture.

Les années disco – Quand Michael est devenu Michael.


A la fin des années 70, le prince de la pop est devenu l’icône des adolescents. Lorsqu’il a compris comment faire danser le monde entier.

Le titre Shake Yor Body (Down To The Ground) des Jacksons en 1979 commence par le grondement d’un piano, un glissement de cymbales et une basse qui passe d’un haut-parleur à l’autre. Tito Jackson tente un staccato à la guitare. Puis Michael Jackson enchaîne les cris et les hoquets de sa nouvelle voix d’adulte. Vous voyez cette fille là-bas ? Michael ne peut pas dire si elle l’a remarqué, si elle le reconnaît, si elle se souvient même qu’il fait partie d’un groupe appelé les Jackson Five. Tout ce qu’il sait c’est qu’il doit se rapprocher d’elle, alors il glisse vers elle sur la piste de danse avec l’une des ouvertures disco les plus grandes de tous les temps : « I don’t know what’s gonna happen to you, baby, but I do ! Know ! That ! I ! Love ya ! ».

La chanson était en septième place du classement au printemps 1979, et cela a représenté plus qu’un tournant dans la carrière de MJ – à bien des égards, c’est un tournant dans la musique pop depuis les 40 dernières années. S’il y a bien un moment où Michael a grandi et est devenu Michael Jackson, c’est celui-là. Dans Shake Your Body, il a l’air totalement confiant – même s’il avait très peur, même s’il était émotionnellement ravagé, un enfant star lessivé dont le dernier hit remonte à des années – en écrivant et en produisant ses propres chansons pour la première fois. Il ne le savait pas, mais il était à un an de Off The Wall, l’album solo qui a fait de lui la créature la plus désirée et la plus adorée du monde de la pop.

Les années disco sont le seul moment où Michael Jackson adopte un profil bas – pour la dernière fois de sa vie, il n’est qu’une célébrité parmi d’autres. Il vivait une vie de luxe et de fantaisie à Hollywood : en côtoyant des stars comme Elizabeth Taylor et Liza Minelli, en jouant le rôle de l’Epouvantail dans The Wiz avec Diana Ross, en sortant avec Tatum O’Neal, en dansant au Studio 54. Il était étrangement innocent à l’époque des Boogie Nights, pas intéressé du tout par le sexe et la drogue, et malgré une indulgence maniaque tout autour de lui, c’était un Témoin de Jehovah perdu dans le dôme du plaisir. Son zoo privé grandissait aussi vite que son réseau d’amis célèbres ; il devait être le seul vierge du carnet d’adresses de Freddie Mercury. Tout le monde aimait que ce gosse soit dans les parages. Mais personne n’avait moyen de savoir que pour lui, ce n’était qu’un échauffement.

Les deux disques des Jacksons qui sont sortis à cette époque, Destiny en 1978 et Triumph en 1980, sont des classiques du disco qui donnent un aperçu fascinant des expérimentations de MJ dans un cadre familial, dans l’invention de sons qui exploseront dans Off The Wall et Thriller. Mais on constate aussi un malaise dans son identité en tant que frère Jackson piégé dans le business familial, une mégastar forcée de se considérer comme juste un autre membre du groupe, vivant toujours à la maison, derrière les grilles de l’enclos de son père.<br<
En 1973, les tubes ne s’étaient pas enchaînés pour les Jackson Five, et les garçons étaient presque laissés pour morts. Qui voudrait d’un chewing-gum de la veille ? Le titre de leur retour Dancing Machine – qui a atteint la deuxième place en 1974 – paraissait être un nouveau coup de chance pour la vieille garde de la Motown, mais aussi un titre prophétique. Le disco était un son nouveau en 1974, et il était rare pour un groupe dit de R&B d’abandonner son prestige et d’aller de l’avant pour conquérir les discothèques. Dancing Machine présentait le monde à un robot, que les Jacksons emmenaient sur tous les plateaux télé, notamment avec Cher et dans The Merv Griffin Show.

Les Jacksons ont quitté Motown pour CBS Records en 1975, laissant leur « 5  » derrière eux, Berry Gordy clamant qu’il était sa propriété. Les nouveaux nommés Jacksons ont aussi laissé Jermaine, qui avait épousé la fille de Gordy et était resté à la Motown pour se lancer dans une carrière solo. Avec Dancing Machine et avec leur stratégie, les Jacksons semblaient voués à devenir une famille pop comme les Sylvers, la DeFranco Family ou encore Captain and Tennille. Ils sont allés dans le Carol Burnett Show pour présenter leur nouveau membre à part entière, Randy, le plus jeune des frères Jackson et un futur musicien de talent.

Ils ont connu quelques revers avec les producteurs de Philadelphie, Gamble et Huff, qui permettaient aux frères et à Michael d’écrire quelques chansons sur leur album. L’album The Jacksons a par moments – dans Enjoy Yourself ou Think Happy – quelques éruptions de guitare à la [i]Beat It[/i], et contient le premier titre écrit en solo par Michael, Blues Away. Mais même la lettre S sur la pochette peut être confondue avec un 5, rendant les fans soupçonneux de ce que sont ces gars.

La pression de sauver l’empire familial écrasait Michael, qui était maintenant un grand et maladroit adolescent en pleine mue. Des personnes qui lui ont rendu visite dans sa propriété lui ont demandé où était le « mignon petit Michael ». Les frères tournaient à l’époque une série d’émissions en live sur CBS, où Michael dansait avec Dom DeLuise ou boxait avec Mohamed Ali. Au début de l’année 1977, Michael parlait à Andy Warhol pour le magazine Interview. « Il est très grand maintenant, et il a vraiment une voix haut perchée », a écrit Warhol dans son journal. « Il ne connaissait rien de moi – il pensait que j’étais un poète ou quelque chose comme ça ».

La famille Jackson avait pris le contrôle créatif de Destiny, en écrivant et en produisant tout l’album, sauf le premier single, Blame It On The Boogie, écrit par un obscur chanteur disco anglais qui s’appelait Mick Jackson. Boogie était un tube R&B énorme, mais l’album a vraiment pris feu le printemps suivant, et le Shake Your Body de Michael et Randy a commencé à secouer des millions de corps sur les pistes. Destiny était un disque fantastique, combinant le mouvement sans relâche du disco avec la chaleur romantique de la voix de Michael. Même avant de commencer à travailler avec des collaborateurs clé comme Quincy Jones ou Rod Temperton, Michael avait gravé le son Michael Jackson sur le vinyle. Et les ballades – quelqu’un a-t-il remarqué que c’était presque un appel à l’aide ? Dans That’s What You Get (For Being Polite) et dans Bless His Soul, il continue à chanter à propos de gars sympas qui ont été exploités par tout le monde autour d’eux. Dans la chanson titre, il n’aspire qu’à partir (« I’ve tasted the city life, and it’s not for me / Now I do dream of distant places » – « J’ai goûté à la vie citadine, mais ce n’est pas pour moi / Maintenant je rêve de lieux lointains »), c’est poignant pour un jeune qui vient juste d’avoir 20 ans.

L’humeur de l’album est optimiste comme dans un dessin animé. Le dos de la pochette représente le dessin d’un paon, et un poème écrit par Michael et Jackie pour Peacock Productions : « De toute les familles d’oiseaux, le paon est le seul oiseau qui intègre toutes les couleurs en une, et qui déploie ce faisceau de couleurs quand il est amoureux. Nous, comme les paons, nous essayons d’intégrer toutes les races en une seule à travers l’amour de la musique ». C’est une affaire de famille, toujours co-dirigée par leur père, ils ont dédié le disque à leur mère, et sur la photo du livret, les frères posent dans le studio de mixage. Tous sourient avec confiance en direction de l’appareil – tous sauf Michael, qui se tient derrière et qui se détourne nerveusement.

Moins d’un an plus tard, Off The Wall faisait de Michael la plus grande star de la pop, mais il était toujours accablé par un groupe qu’il ne pouvait pas quitter – ils étaient du même sang et encore plus que ça. Donc, immédiatement après Off The Wall, il est retourné en studio pour Triumph, dans un rôle incroyablement étrange de chef d’équipe, prétendant qu’il n’est rien de plus que ses frères. On peut entendre cette poussée de confiance sur Triumph – c’est comme de regarder comment se comportait Al Pacino dans le premier épisode du Parrain sachant qu’en parallèle il connaissait le succès avec Serpico.

Les Jacksons sont revenus au disco pour ce disque – les singles étaient d’énormes titres R&B mais ils n’ont jamais atteint le top 20, comme si le public noir pur et dur continuait d’écouter mais que les masses populaires y avaient renoncé. Can You Feel It suggère qu’ils ont écouté beaucoup de rock; c’est comme s’ils avaient mélangé un peu de Electric Light Orchestra avec un peu de Earth, Wind and Fire. Heartbreak Hotel (une version originale, pas une reprise de Elvis) est un avant-goût de la paranoïa des groupies dont Michael fera vite sa marque de fabrique. Quelques temps après que Heartbreak Hotel a tout fracassé, CBS a mystérieusement changé le titre de la chanson pour un total non-sens, This Place Hotel.

Après Thriller, la famille est naturellement revenue à la charge, pour la débâcle du Victory Tour. En 1984, chaque morceau de plastique avec un soupçon de magie Jackson avait la garantie de conquérir les classements : Jermaine, fraîchement de retour, a demandé à Michael de chanter sur Tell Me I’m Not Dreamin’, leur sœur Rebbie a connu un succès unique avec Centipede, et un vieil ami de la famille, Kennedy William Gordy, plus connu sous le nom de Rockwell, à enrôlé le pouvoir de star de Michael pour Somebody’s Watching Me. Mais les fans ont été contrariés dès le début par le Victory Tour et par l’album à partir du moment où ils ont été annoncés – c’était comme si Michael était tyrannisé au milieu d’un projet familial, et comme si les frères surveillaient chacune de ses actions. On peut voir leur manière de fanfaronner dans l’omniprésente publicité pour Pepsi: les autres Jacksons se pensaient aussi cool que Michael.

Victory était en train de devenir une pagaille sans nom, la risée de tout le monde le jour de sa sortie. Michael apparaît à peine sur l’album, au-delà de l’hilarant duo avec Mick Jagger, State of Shock. Il a aussi chanté un duo sympa avec Jermaine sur le titre de Jackie, Torture, et a contribué au misérable hymne Be Not Always, qui avait dû être choisi pour faire paraître bonnes les chansons de Marlon et Tito. Michael avait travaillé sur des titres de Victory avec Freddie Mercury du groupe Queen – c’est Michael qui a encouragé Freddie à sortir Another One Bites The Dust – et il existe une démo où ils chantent State of Shock, avec Freddie qui chante la partie qui est revenue à Jagger.

Les Jacksons n’ont chanté aucun titre de Victory pendant leur tournée d’été, mais les prix des billets étaient exorbitants (30 dollars à l’époque), et le projet tout entier est devenu le symbole légendaire d’une arrogance de superstar. La partie la plus triste est que la seule superstar du groupe était celle qui n’était pas assez arrogante pour dire non.

Vis à vis du public américain, Victory a marqué la fin du chemin pour les Jacksons. Leur seul autre album sorti en 1989, 2300 Jackson Street a été universellement ignoré (si vous l’écoutez à travers un microscope vous pourrez distinguer la voix de Michael sur un titre). Destiny et Triumph ont tellement été éclipsés par le mastodonte Michael-en-solo qu’il ont enterré des trésors que la plupart des fans de Michael n’ont jamais entendu. Mais à bien des égards, on y entend le son de Michael qui lutte pour se libérer de son passé. On pouvait entendre dans sa voix qu’il savait ce que c’était que d’être rejeté et abandonné par le monde de la musique. On pouvait aussi entendre sa détermination à ce que cela n’arrive plus jamais.

Source : Rolling Stone – Special Commemorative Issue – 2009
Traduction PYC
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Source: MJFrance

Le musée de cire « Mother »s Wax Museum » de New Town situé au nord-est de Calcutta proposera prochainement à ses visiteurs une statue de cire de Michael Jackson.

Ce musée qui a ouvert ses portes le 10 novembre 2014 ne contenait pratiquement que des statues de cire de célébrités indiennes. Il a donc été décidé de l’agrandir considérablement et de rajouter des statues de cire de célébrités de la musique et du cinéma américain.

L’ouverture de cette nouvelle extension devrait avoir lieu dans environ 6 mois. Nous pourrons alors découvrir à quoi ressemblera cette nouvelle statue de cire du Roi de la Pop.

Source: hindustantimes.com

Source: MJFrance

Du 21 mars au 20 avril, Legacy Recordings vous propose de fêter ses plus grands artistes grace au concours We Love Vinyles. Pour les fans de Michael Jackson sachez que le Pack Legends vous permet de tenter de gagner le Picture Disc de BAD25 et le 45 tours de la chanson I Just Can’t Stop Loving You en participant à ce concours du 21 au 28 mars.

Pour se faire, rendez-vous sur legacyrecordings.fr ou sur la page Facebook de Legacy Recordings France.
Source: MJFrance

Tous les fans de longues dates se souviennent de cette chanson de 1993 qui reprenait un sample de « Human Nature » et qui tournait en boucle sur toutes les radios. C’était le groupe des trois filles qui s’appelait SWV et le titre en question était « Right Here » dans sa version « Human Nature Re-Mix ». Non seulement Michael Jackson avait donné son autorisation mais en plus la version avec Human Nature figurait sur la B.O du film Free Willy avec « Will You Be There ».

Sachez donc que l’album « It’s About Time » sortira le 25 avril 2016 en version 2 CD Deluxe Edition chez Funky Town Grooves et contiendra parmi ses bonus plusieurs versions de « Right Here » avec le sample de Human Nature.

Notez tout de même que ce titre figure également sur l’album mais sans le sample en question. Voici ci-après la pochette de cette album et sa tracklist dans laquelle nous avons mis en gras les versions où figure le sample de « Human Nature ». Vous pourrez après la tracklist visionner alors le clip de l’époque contenant quelques images de Michael Jackson que nous avons retrouvé pour vous.

CD1

1 Anything
2 I’m so into You
3 Right Here
4 Weak
5 You’re Always On My Mind
6 Downtown
7 Coming Home
8 Give It To Me
9 Blak Pudd’n
10 It’s About Time
11 Think You’re Gonna Like It
12 That’s What I Need
13 SWV (In The House)

Bonus Tracks:

14 Right Here (Human Nature Radio Mix)
15 I’m So Into You (Teddy Radio Mix)
16 Weak (Radio Edit)
17 Downtown (Street Radio Mix)
18 Anything (Old Skool Radio Mix)
19 You’re Always On My Mind (Bam’s Radio Mix)
20 Right Here (Funkyman Extended Mix « Lord Finesse »)

CD2 – Bonus Tracks

21 Right Here (Back To Nature Mix)
22 Weak (R-N-B Mix)
23 I’m So Into You (Teddy’s Extended Rap Mix)
24 Right Here (12″ Demolition Mix)

25 Downtown (Jazzy Dub Mix)
26 You’re Always On My Mind (Bam’s Extended Joint Mix)
27 Right Here (12″ Power Mix)
28 I’m So Into You (12″ Funky Club Mix)
29 Weak (Bam Jam Extended Jeep Mix)

30 Right Here (Human Nature Extended Mix)
31 Anything (Album Remix)
32 I’m So Into You (The Funkstrumental Vocal Dub Mix)
33 Right Here (UK Back To Black Mix)
34 Downtown (Wet Extended Mix)
35 I’m So Into You (Bonus Groove)
36 Downtown (Original Radio Edit)

Vous pouvez commander cette édition Deluxe chez funkytowngrooves.com.

Source: MJFrance

Hector Barjot vient de publier une nouvelle vidéo sur You Tube dans laquelle il vous présente les différents supports sortis pour la compilation japonaise Soul Source sortie en 2000 et 2001 et composée de remixs de chansons de Michael Jackson et des Jackson 5. Vous pouvez visionner cette vidéo ci-après et pourquoi pas découvrir des pièces que vous n’avez peut-être jamais vu auparavant.

Source: MJFrance

Samedi 19 mars 2016 avait lieu à l’hôtel Drouot de Paris une vente aux enchères par la maison de ventes Coutau-Bégarie consacrée à la variété ainsi qu’à la chanson française et internationale. Plusieurs objets de collection concernant Michael Jackson étaient ainsi mis en vente dont un chapeau accompagné d’un certificat d’authenticité. Estimé entre 2000 et 3000 euros, ce chapeau a finalement été adjugé à 6000 euros.

Parmi les objets mis en vente figuraient entre autres: Le World Music Award de 1996, ce trophée original de la cérémonie remporté par le Roi de la Pop pour le « Best Pop Male Artist Of The Year » et estimé entre 6000 et 7000 euros (la statuette est en métal, plaquée or 24 carats et pèse 1,518 Kg), un disque de platine USA pour l’album « Blood On The Dancefloor » avec certification RIAA de 1997 pour la vente d’un million d’exemplaires estimé entre 600 et 800 euros (ce disque de platine fut fabriqué en quelques dizaines d’exemplaires pour le compte de Michael Jackson, des auteurs, de l’éditeur et de certains diffuseurs) et un disque de platine certifié par le S.N.E.P pour le single « Thriller » datant de mars 1984 estimé entre 3000 et 3200 euros. Ce disque de platine provenant de l’éditeur fut fabriqué en trois exemplaires pour le compte de Michael Jackson, des auteurs et de l’éditeur.

Sources: Drouot / Coutau-Bégarie / Purepeople
Source: MJFrance